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Si toi aussi, tu entends souvent ton cœur parler à ta plume, viens déposer tes escarpins dans l'empreinte de nos pas.
Tu pourras alors alimenter cette rivière afin qu'elle devienne un fleuve prolifique de douceurs où tous, nous venons à notre tour, pour y tremper notre plume féconde.
Et cet affluent de pensées innombrables finit sa course magnifique dans un océan de lumières.
J'aime cet idée de partage.
Elle devrait régir le monde sans aucune faille.
Pour que nous regardions tous dans la même direction.
C'est pour cette raison que nous aimons tant la poésie... Et les poètes !...
Gérard SANDIFORT alias Sandipoete
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Si toi aussi, tu entends souvent ton cœur parler à ta plume, viens déposer tes escarpins dans l'empreinte de nos pas.
Tu pourras alors alimenter cette rivière afin qu'elle devienne un fleuve prolifique de douceurs où tous, nous venons à notre tour, pour y tremper notre plume féconde.
Et cet affluent de pensées innombrables finit sa course magnifique dans un océan de lumières.
J'aime cet idée de partage.
Elle devrait régir le monde sans aucune faille.
Pour que nous regardions tous dans la même direction.
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 Nous sommes quitte

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cloudy
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MessageSujet: Nous sommes quitte   Nous sommes quitte EmptySam 15 Sep 2012 - 22:57

NOUS SOMMES QUITTE



J'ai frôlé la mort, dès suite d'un accident grave.
Peut être était-ce un sursaut du destin pour me préserver,
Du mal qui allait s'abattre sur mon esprit devenu ton esclave.

Durant ce long calvaire tu m'a soutenue par ta présence dans cet isolement forcé.
Les lobotomies répétées n'ont pas occulté mon souvenir de toi. Après cette interminable pénitence
La libération est arrivé, mais sans laisser place aux espoirs que nous avions couvé toi et moi.






Tu m'as poussé sans pitié dans l'abîme, pour toucher le fond, oh violence.
J'avais pourtant fait que de t'entrainer de l'avant, vers la réalisation de toi,
Jamais je n'aurais trahis ta confiance, marqué ta jeunesse d'une blessure perpétuelle.
J'ai cru en ton éclosion latente, future splendeur, ma Chloé, belle fleur.







Je cultivais soigneusement le jardin qui devait voir s'épanouir ta beauté éternelle.
Tu t'es pervertie, de honte, d'insanité et par l'ignominie de tes actes, as perdu ton honneur.
Ton bulbe est sali de l'infecte sécrétion de ta vulve,







Tu m'as menti, trompé, trahis, puis tout caché avec soins,
Il semblerait que tu regrettes que les œdèmes féroces ne m’aie pas mené à mourir.
Mais tu le dissimule, pour pouvoir jouir encore à travers moi de la satisfaction de tes besoins.







Ce que tu as fais de notre complicité, de notre amour, de notre amitié, me fait vomir .
Sans doutes croyais-tu que mes gestes bienveillants t'étaient dû de droit
Tu ne comprenais pas que mon dévouement, hors de mon amour pour toi, n'aurait pas eu lieu d'être.







Cet amour je l'ai voulu, j'ai choisi de te l'offrir. Tu ne le méritais pas, mais oui, j'ai cru en toi.
Tu as décidé qu'amour et clémence t'avaient été acquis gratuitement, quand tu les a vu naitre.


En dépit de tout, et malgré mon anéantissement inexorable,




Tu n'as pas connu la morsure de mes canines animales. Défiance ! ma langue connait le gout du sang.
Non, je persiste dans ma bonté, elle défie la brulure intime d'une douleur ineffable.
Mais ? pour qui dédie sa vie à son alter ego, le pardon est-il à l'offense inhérent ?


Pourtant toi heureuse mais dédaigneux ayant droit, tu ne m'écoute plus, ne m'aide plus, tu as oublié la compassion,
Tu voudrais que l'expression de ma détresse s'étouffe dans ma peine.
Ta chaleureuse mansuétude n'aurait-elle toujours été qu'une illusion ?







Je ne peux plus compter sur toi pour m'entourer de prévenance, comment contenir ma haine ?
La présence de ton corps me gène tellement ! je le vois comme désincarné,
Dénué d’esprit, n'étant plus que chair à violer, contradictoirement... violé avec ton consentement.







Tu t'es prostitué, je ne vois plus qu'une trainé.
La culpabilité te ronge de l'intérieur, tel les vers qui grouillent en ton sein.
Derrière l'artifice sublime, d'une jeune fille douce, inoffensive, au regard plein de complaisance







Tu te cachais, gorgone perverse, pour m'infliger deux coups de couteau dans le dos.
Fut-il
délibéré ce choix mesquin? l'entaille n'était-elle pas assez profonde
pour que tu aggrave de la frappe les circonstances ?







Après avoir fais face au jugement porté par tous sur l'inculpé difformité de notre union,
Alors que ce n'est que sur la base d'un principe périmé que tous condamne le fait que quatorze années nous séparent,







Après avoir étanché ta honte et ta détresse, alors que ta mère, découvrant notre discordance en a subit l'humiliation,
Tu
m'as infligé l'horreur accomplie. Avec cet homme qui t'as niqué, vous
êtes jugés pour une différence d'âge de trente ans. Un canular.







Tu disais vouloir m'épargner ce supplice, en voilant ton comportement lamentable,
Mais étant sourdement malhonnête, punissable, le non-dit terrassait ton naturel et ton intégrité.
Tu as provoquer par cette mascarade, le processus ignoble par lequel j'ai découvert l’impardonnable.







Tandis que tu m'avais poussé dans la descente d'un espoir infondé, celui de te retrouver.
Tu avoue regretter de devoir mettre un terme à cette relation pestilentiel.
N’aie crainte, ta concupiscence va t'entrainer à d'autres traumatismes sexualisé.







Tu accuses mes réflexions, mes actions, mes décisions, d'être démentiels,
Mais
comme tu ne connais pas ma souffrance tu ne saisie pas la véracité des
hurlements que mes blessures adressent à ma conscience.
Le bien-fondé
de mes sentiments assure la coordination de mes faits et gestes avec la
nocuité de la conjoncture.


On dit qu'il est bon de se préoccuper de quelqu'un quand l'on constate que c'est utile.
Cela
m'a fait du bien de te voir grandir et murir, toujours j'ai agis dans
le soucis que te réjouisse encore de ma fidélité, un jour futur,







Présentement, à tort ou à raison, je profère cette exhortation : il
n'est jamais bon de se dévoué à une personne aux intentions mercantile.
Il y a des choses qui ne se disent pas, une leçon n'est pas assimilée quand elle est donné par autrui,







Par toi même, considères le mal que tu m'as fait,
En discernant et en épurant tes agissements envers ce monde, l’épargnant de ces égarements inquiétants comme la nuit,
Tu trouveras la symbiose et l'accord positif, entre toi et l'ensemble d'un monde parfait,







Connais toi toi même !
Tous les malheurs et les horreurs de cette terre sont les excréments de la bêtise et de l'ignorance.
Exorcisons notre componction, et rejetons, et purifions par l'onction nos émotions, de ces alluvions.




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