Me verras-tu ?

Bonjour à tous, je voudrais vous exposer un très court texte.
Le contexte ? 12H15, en plein cours de mathématiques, la journée ne fais commencé et déjà l'air est morose. Je sais que des mauvaises surprises m'attendent, notamment une immonde déroute lors de l'interrogation de physique qui m'attend l'heure d'après ... Quoique cela ne soit pas réellement une surprise.
Bref, excusez moi je m'égare ^^

C'est une petite rature que je voudrais améliorer, si quelqu'un se sent l'âme de me conseiller...

" L'iris de tes yeux trouvera t-il quelques valeurs à mon être,
Lorsque lié aux enfers, j'écumerais ma peine d'un chant désolé,
D'une voix pure et secrète, me faisant ton unique prêtre,
Retirant au ciel et tout ces anges ces accords extasiés ?

La finesse de tes bras sera t-elle encline à m'accueillir,
Lorsque toutes mes larmes auront abreuvée les terre stériles,
Et balafrées la candeur du Néant d'une offrande servile,
D'un art maladroit, ratifié cette nuit dans l'espoir de t'attendrir ?

Daigneras-tu m’adresser un mot, m'accorder un regard,
Lorsque pour t'avoir trop aimé, je charivaris dans l'abîme,
Lorsque pour m'avoir trop ignoré, je t'écrirais ces rimes ?
Et sur mes lèvres, poseras-tu un ultime baiser avant qu'il ne soit trop tard ? "

Il faut chercher pour trouver un texte ici ..
Bref ... je veux bien corriger au moins l'orthographe, mais pour la forme c'est pour moi trop loin d'un poème à forme classique pour que je puisse intervenir. D'autant que je ne sais pas vraiment ce à quoi tu tends ...


" L'iris de tes yeux trouvera t-il quelques valeurs à mon être,
Lorsque lié aux enfers, j'écumerais ma peine d'un chant désolé,
D'une voix pure et secrète, me faisant ton unique prêtre,
Retirant au ciel et tous ses anges ces accords extasiés ?

La finesse de tes bras sera t-elle encline à m'accueillir,
Lorsque toutes mes larmes auront abreuvé les terres stériles,
Et balafré la candeur du Néant d'une offrande servile,
D'un art maladroit, ratifié cette nuit dans l'espoir de t'attendrir ?

Daigneras-tu m’adresser un mot, m'accorder un regard,
Lorsque pour t'avoir trop aimé, je charivaris dans l'abîme, (charivaris? ou chavirerai ?)
Lorsque pour m'avoir trop ignoré, je t'écrirai ces rimes ?
Et sur mes lèvres, poseras-tu un ultime baiser avant qu'il ne soit trop tard ? "