Aigreur...

Aigreur des sentiments...

 

 Hérésie que de penser qu’une frénésie vengeresse stopperait cette paralysie amoureuse survenue en tentant de te rendre heureuse. Je me suis souvenue de moments ou ces sourires étaient seuls calmant à un mal être caché derrière un masque de joie pour ne plus être moi.     

 Les mots se rejoignent un à un pour former un « Je t’aime » parfois balancé comme ça, prononcé sans penser. Ils creusent des plaies en mon âme qu’il est impossible de panser.

 Mon monde n’est plus ce qu’il n’a jamais été, songe d’une nuit d’été ou tout a été si parfait.

 J’ai pleuré si souvent que mes joues ont le goût salé, amère d’une mer de tristesse oú je me noie parfois. J’ai tenté a plusieurs reprises d’y nager mais un sentiment de traîtrise ma fait perdre la foi.

 Je deviendrais un marin solitaire, quittant mes terres pour me risquer dans cet océan aux abîmes abîmés par un passé dont je ne peut me passer. Sans toi je meurs, reste une demeure sans toit, le ciel peut s’abattre sur moi, milles tonnerres et un déluge de tendresse résonnent en mes nerfs, les caresses d’une nuit d’hiver ne pourront rien y faire.

 Le temps qui passe, ce tueur de masse, cette assassin vicieux dont les rêves malsains m’emmèneront dans les cieux. Oú nos noms n’auront d’importance que pour ceux qui auront eu vent de notre existence. De notre amour, je ne vois que des cendres car la conquête d’un coeur ne se fait pas comme celles du Grand Alexandre.

 Le poids des mots la force d’une phrase, écrasent un à un mes espoirs de guérison, aimer à crée cette  prison  dont le temps reste geôlier, à tout jamais je suis lié a cette peur qui a bâtit ce fou à lier.

 En t’invitant en mon cœur tu restes sur le palier, je fermes la portes mais te laisses les clefs.

 Crois tu qu’il est possible de bâtir sur ces ruines, derrière ma poitrine un pays qui serait alors la vitrine d’un bonheur que je préserverais avec honneur…?

 

 

Valdek.

j'aime bien ton style mais ton poème n'a pas de contraintes métriques

J'ai déplacé ton poème en bonne place.
Je sais... Je sais, le forum est un grand labyrinthe.
Certains s'y perdent tant qu'ils abandonnent l'endroit.
Il faut persévérer, on fini par y trouver des perles.
J'y ai bien trouver ton texte !

Je vous remercie. je suis désolé de l'avoir posé dans un mauvais endroit mais je pensais qu'il y avait dans mon poème une certaine contrainte métrique. Au temps pour moi.