Un cadre à deux onces

Queue de Poissons retournée, du premier Avril
En la gueule du Bélier, ce serpent du Nil,
Sous le signe d’un vendredi, très justement !
Salue Aphrodite aux portes du Jugement.
Tout y chante un mystère au chaos immanent
Que rectifie l’implosion d’un jour imminent.
Le cycle neuf par hasard en neuf s’additionne
Comme un kaléidoscope que l’air visionne.
Mais cette fois, bientôt, la boucle est achevée,
Et le Serpentaire en son ère entre, et voilée
La lumière se révèle en le crépuscule
De la Dame Rouge, et de Lucifer recule
Devant l’obscure vision qui se réfugie
Des êtres lucifuges en l’ombre tapie.

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Poème de premier avril
qui parle de bizarreries du chiffre neuf
de l'obscure vision qui se réfugie comme des êtres lucifuges.
Ta main poétique aime se promener sur ces extravagances.

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Gérard SANDIFORT, alias Sandipoete
Un cadre à deux onces Vieux-10

Solum telum ego tolerare ? Pluma !
La seule arme que je tolère ? La plume !...

» Cadre
» Dans le cadre.
» sur un cadre accroché au mur
» Une, deux, ...
» par deux.