Piscine... Glycine...

Piscine…glycine…
　
Elle a pleuré, Myrtho quand son corps a roulé…
Non, je ne copie pas : Myrtho c’est ma copine
Et je dis simplement, quoiqu’en style ampoulé
Comment elle est tombée, glissant dans la piscine !

C’était l’après midi et dans son beau maillot
Elle allait sur le bord fièrement sûre d’elle
Quand le pied lui manqua, car quelque trace d’eau
Rendait glissant le sol et dans une chandelle

Sans doute involontaire elle partit vers le ciel…
Enfin pour commencer, car bientôt la prouesse
A laquelle j’ai cru ne fut plus un soleil
Et Myrtho s’écroula bêtement sur les fesses !

Elle a pleuré, Myrtho, lorsqu’elle fut dans l’eau
Et que tous s’esclaffaient, autour de la piscine.
Alors pour excuser mon rire (c’est pas beau !)
Penaud, je lui offris un bouquet de glycines !

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Et je te dis pour ce poème !