Point de vue

Yes!
Noir est ton poème, mais juste dans le temps....

amitiés poétiques
kty

Point de vue :
Est-ce que tu poses une problématique de positionnement face à des situations concrètes où chacun cherche à se justifier , à se faire pardonner à sauver sa peau ou sa face alors qu'il est coupable et condamnable ?
J'ai du mal à saisir le fil sémantique de ton texte

Sur le plan formel
Le titre au singulier présage l'idée du "point de vue" à sens unique et le fait de segmenter le texte en deux strophes compactes suggère l'éternel cantonnement dans deux positions rigides : pour et contre. C'est toujours ce "manichéisme qui s'empare de nos pensées sans laisser place à la liberté de penser "autrement"
L'absence d'une chute pour trancher le dilemme me laisse sur ma faim

Cher ami





Je rejoins walido dans son raisonnement



Toutefois à la lecture de ton texte je ne pense pas que tes deux strophes aient pour l’une un sens négatif et pour l’autre un sens positif. L’ensemble me semble être un positionnement négatif.

Ainsi les mots commençant les quatre premiers vers sont négatifs: la culpabilité, la condamnation, le mensonge, l’orgueil

Dans la deuxième strophe se sont les mots terminant chaque vers qui donne le sens négatif : génocide, pleurs, intrépide, rancoeurs



Tout en comprenant le fond du message je reste dubitative quand à la mise en forme, je pense qu’il manque par endroit des virgules.

Par exemple : mais toujours les fusils, inutiles rancoeurs



Mais soit sûr cher ami que je l’ai lu et relu à ma satisfaction

Ce ne sont là que des commentaires pour tenter de mieux te comprendre



Amitiées poétiques



Féra

Merci Kty, je savais que cela te toucherait.

Walido, le titre est au singulier, comme un point sur une carte. D'un point de vue unique on peut voir et/ou observer de plusieurs façons dans toutes les directions et interprèter ce que le cerveau reçoit comme image. D'où ce texte en forme de liste rimée avec un centre de sysmétrie artificiel entre les deux quatrains (mais la technique poétique est artificielle par définition). Pas de pour, pas de contre, juste l'énumération des fléaux.
Le titre choisi me place comme observateur, et j'espère place le lecteur à la même place. L'observateur ne juge pas, il constate. De ses constatations, réflexions peuvent suivre...
La chute est là dans le dernier ver. Pour simplifier au plus court, je dirai que chacun de nous, toi, moi, Kty, Féra etc.. avons en nous le bourreau et le héro. Ce sera toujours les circonstances extérieures qui nous feront pencher vers l'un ou l'autre... c'est mon "point de vue" :-)

Féra, merci d'avoir vu la sysmétrie des deux quatrains, quant à la ponctuation, il est vrai que par manque de totale maitrise, je choisis souvent de ne pas en mettre (ou presque.) A travailler donc :-)

Citation :

Mais soit sûr cher ami que je l’ai lu et relu à ma satisfaction

N'est-ce pas aussi cela la poésie: s'accaparer le sens d'un texte et le mettre à son goût.
En tout cas merci de t'être arrêtée ainsi.

Merci à vous trois pour vos commentaires
Poétiquement

Nous"avons en nous le bourreau et le héro. Ce sera toujours les circonstance extérieures qui nous feront pencher vers l'un ou l'autre... c'est mon "point de vue" :-)"
....Le coeur aussi! Mais aimer n'est ce pas une cause encore une cause extérieure?


Encore! tes textes revendiquant, criant aussi, en as tu? Toi souvent si modéré?

Jolie dialogue qui me fait réfléchir ...Et arrf, j'en ai besoin!

Autre chose Pascal, plus fort, plus long, plus fouillé!

Amitiés
Kty

J'ai la nette certitude que tu ne réponds pas à la problématique que j'avais posée
C'est confus et loin de parler de qq chose de concret
Voilà un discours où j'ai rien compris :

"Walido, le titre est au singulier, comme un point sur une carte. D'un point de vue unique on peut voir et/ou observer de plusieurs façons dans toutes les directions et interprèter ce que le cerveau reçoit comme image(?) . D'où ce texte en forme de liste rimé(?) avec un centre de sysmétrie artificiel (?) entre les deux quatrains (mais la technique poétique est artificielle(?) par définition). Pas de pour pas de contre, juste l'énumération des fléaux.(UNE ENUMERATION EVINCE L'IDEE DE POINT DE VUE) J'aurais pu l'appeler "humanité", mais ce mot n'a pour moi que valeur positive, de plus cela aurait passé pour provocation gratuite(LE MOT N'A AUCUNE REFERENCE PROVOCATRICE) Or mes provaocations ne sont jamais gratuites

Je pense qu'un poème qui se veut "réflexif paie une lourde rançon au niveau formel si ce n'est sa poéticité