Forum poétique
Si toi aussi, tu entends souvent ton cœur parler à ta plume, viens déposer tes escarpins dans l'empreinte de nos pas.
Tu pourras alors alimenter cette rivière afin qu'elle devienne un fleuve prolifique de douceurs où tous, nous venons à notre tour, pour y tremper notre plume féconde.
Et cet affluent de pensées innombrables finit sa course magnifique dans un océan de lumières.
J'aime cet idée de partage.
Elle devrait régir le monde sans aucune faille.
Pour que nous regardions tous dans la même direction.
C'est pour cette raison que nous aimons tant la poésie... Et les poètes !...
Gérard SANDIFORT alias Sandipoete
Forum poétique
Si toi aussi, tu entends souvent ton cœur parler à ta plume, viens déposer tes escarpins dans l'empreinte de nos pas.
Tu pourras alors alimenter cette rivière afin qu'elle devienne un fleuve prolifique de douceurs où tous, nous venons à notre tour, pour y tremper notre plume féconde.
Et cet affluent de pensées innombrables finit sa course magnifique dans un océan de lumières.
J'aime cet idée de partage.
Elle devrait régir le monde sans aucune faille.
Pour que nous regardions tous dans la même direction.
C'est pour cette raison que nous aimons tant la poésie... Et les poètes !...
Gérard SANDIFORT alias Sandipoete
Forum poétique
Vous souhaitez réagir à ce message ? Créez un compte en quelques clics ou connectez-vous pour continuer.


UN ENDROIT QUI RESPIRE LE BIEN ÉCRIRE ET L'AMITIÉ
 
Vitrine du SiteFaire lire sa poésie sur FacebookAccueilRechercherS'enregistrerComment écrire de la poésie ?Connexion
Vous souhaitez faire plaisir à votre ami(e) ou à un(e) proche
Avec des mots bien choisis mais vous ne savez pas comment l'exprimer ?
Demandez-nous de vous écrire un poème !...
Réponse assurée.
Nous vous donnerons en réponse l'endroit où vous pourrez
Lire, copier et même donner votre avis sur le texte que vous aurez préféré
Mais d'abord...
 

 "le tramway"(prose)

Aller en bas 
AuteurMessage
lulli
Gagnant d'un concours sur le forum
Gagnant d'un concours sur le forum
lulli

Poète accompli
Durée d'inscription

Féminin
Gémeaux Tigre
Nombre de messages : 215
Age : 37
Localisation : Partout où Paris est
Date d'inscription : 08/02/2007

"le tramway"(prose) Empty
MessageSujet: "le tramway"(prose)   "le tramway"(prose) EmptyLun 13 Aoû 2007 - 12:54

les même mots imposé que pour le portrai d'Anna, mais dans le désordre...

-------



Le tramway n'était pas désirable, il puait, il ruminait et il grondait à chaque virage, on eu dit un être autonome si les rails ne le guidait pas au travers de la ville. Ces couleurs furent belle mais avaient virer au pastel-délaver-sâle-engrafité, rien à faire, la crasse envahis chaque wagon, chaque banquette et jusque chaque parcelle de parois métallique. L'espace était confiné et délétère emplis de gens puants de leur journée de travail, théâtre gerbant d'un manège inlassable. Chaque corps indépendamment ignoble se collais aux autres par obligation plus que par désir, bien qu'il y eu des gens à l'aspect bestial pour humer leur proie de façon peu ragoûtante, reconnaissable à leur née aquilin et attentif dans l'ai vicié du l'espace confiné. Tout le monde devait prendre ce tram, il reliais le centre à la périphéries, il en as vu passé des gens, des gueules et des accoutrements. Les plus ancien se souvienne du jour où, un acteur soi disant vénérable - un espace c'était créé pour ne pas le gênez se qui était réserver à l'élite - était monter dans son habit médiéval de scène qu'il portais avec un naturel désarment. C'est le sommelier qui racontais toujours comment sa fille s'était retrouver en pyjama dans ce transport à force d'étourderie. Personne ne l'aimait ce tram, il était immonde et râlant, personne ne tintinnabuler durant le trajet, qui eu eu la tête à ça ? Dans toute la galaxie il ne devait pas y avoir pire transport journalier que celui ci, il devait être sortie d'une fiction pour être aussi parfaitement insupportable. Les mains aux ongles noirs de saleté s'accrochaient tant bien que mal aux bar métallique et autre bout de caoutchouc pendant de la tôle du plafond, qui fuyait à la moindre averse. Dans l'absolu il fallait éviter de marcher sur le pied de ses voisins, fort rancunier, qui risquait de faire un esclandre énorme vous menaçant de vous faire tomber de la falaise - chute abyssal et sans retour possible. L'impatience était toujours présente comme s'il était capable d'aller plus vite que ces roues déformer par le pois ne le lui permettait. Le tram était la scène de nombreuses rencontre improbable qui pouvais même aboutir à des liaisons plus où moins amical et intéresser. Une bonne soeur son christ crucifié aux cou avait discuter avec un agriculteur rougeaud à propos d'animaux diverse et varié, à croire que les chats, tarentule, python et autre mouton les avait rapprocher mais la porte claquât, le tram enfermais et séparait au grès de ces envies, lui sur le quais, elle dans le wagon... Pour s'en sortir il fallait rêver de désert et de solitude tant on était comprimer et tant on étouffait. C'était un vraie capharnaüm où l'aspirateur n'avait pas encore était inventer, la poussière grasse emplissait les bronches, si le feu avait pris en raison de la trop forte chaleur, il était à craindre que l'extincteur grince, ronfle et ne s'amorce jamais, on n'y pensait pas préférant rester dans l'illusion d'une sécurité - on meurt bien plus d'accident de voiture que de tram. Les gens qui passaient par ce tramway régulièrement on -de façon hypothétique mais logique - des globule blanc en fer, qui résistaient à l'infamie, ils ont dut mourir vieux, voir ne pas être encore mort. Un jour, un fou sans aucun doute, avait pulvérisé de l'eau de violette importer de chine, sa a empester par dessus les sueurs et flatulence pendant une semaine... Sur les murs il y avait des graffitis en peinture étincelante ou pouvait deviner des mots qui s'entremêlait sans sens : "jette le pain par la fenêtre" entrelacer d'une espèce de photophore peu reconnaissable et qui couvrait une partie du dernier mot, il y avait aussi un "anaphore" bancal, qui n'a jamais était compris, ni même appréhender , quoiqu'il en soit, sa n'aurais fait tomber personne en pâmoison, l'indifférence était de mise, surtout dans cette populace. Et puis on avaient mieux à faire, il fallait prêter attention à ses pieds, si on tenais un minimum à eux. Dans ce bout de ferraille sur rails, il manquais la grâce de la nature malgré un pauvre iris qui se découpais sur la porte vitrée, ancienne pub pour un shampooing parait-il et qui disparaissait sous le gras des mains qui s'y posaient à longueur d'année. Puis un jour, la ville à décider de classez le tramway en "insalubre", obligation de le supprimer, danger public, il on même construit des jardin autours des rails. Plus de rencontre et de crasse mais surtout, surtout : tout le monde en pédibus.
Revenir en haut Aller en bas
http://lulli.blog4ever.com/blog/index-88112.html
 
"le tramway"(prose)
Revenir en haut 
Page 1 sur 1
 Sujets similaires
-
» Pour faire un tableau... ""? concours ?"&quot
» Ne lis pas cette lettre ""Dalida""
» J'étais là ... ""interdit à Apogon"" lol
» Reveillon à deux ""tu es seul ou trop jeune? klik
» "Vous m'avez écrit" (Paroles et Musiques de Trista

Permission de ce forum:Vous ne pouvez pas répondre aux sujets dans ce forum
Forum poétique :: LES GRIMOIRES :: Vos poèmes classés en grimoires :: Lulli-
Sauter vers: