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Si toi aussi, tu entends souvent ton cœur parler à ta plume, viens déposer tes escarpins dans l'empreinte de nos pas.
Tu pourras alors alimenter cette rivière afin qu'elle devienne un fleuve prolifique de douceurs où tous, nous venons à notre tour, pour y tremper notre plume féconde.
Et cet affluent de pensées innombrables finit sa course magnifique dans un océan de lumières.
J'aime cet idée de partage.
Elle devrait régir le monde sans aucune faille.
Pour que nous regardions tous dans la même direction.
C'est pour cette raison que nous aimons tant la poésie... Et les poètes !...
Gérard SANDIFORT alias Sandipoete
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 De Stephan Hymalet MADEMOISELLE "F" 1/2

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sandipoete
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De Stephan Hymalet MADEMOISELLE "F" 1/2 Empty
MessageSujet: De Stephan Hymalet MADEMOISELLE "F" 1/2   De Stephan Hymalet MADEMOISELLE "F" 1/2 EmptyMar 28 Nov 2006 - 9:16

MADEMOISELLE F


Août 2003.

Extrait du journal : Le matin Français.


REBONDISSEMENT DANS L AFFAIRE ROBANT.

Un homme d’une trentaine d’année, ayant à plusieurs reprises, été aperçu mon loin de la maison des Robant, à été arrêté hier soir à Toulouse lors d’un contrôle de Police ; Suspecté au moment des faits, l’homme, dont l’identité n’a pas encore été révélée, avait quitté, sans en avertir les autorités, la chambre qu’il occupait depuis trois mois à l’hôtel des Ternes. On sait maintenant qu’il était parti au Portugal s’occuper de sa demi-sœur malade. Celle-ci étant décédée, il serait, selon ses dires : Tous naturellement revenu dans sa ville natale.
Les Robant, un jeune couple tranquille au passé sans histoire, avaient été découvert
le16 Avril 1999, par Edwige Cezardé. Amie de Cristelle Robant, elle était passée vers dix du matin dire bonjour à la jeune femme, qui était à quelques jours d’accoucher. Elle avait découvert, cette dernière, son mari et leur fillette âgée de cinq ans, baignant dans une mare de sang. D’après le légiste, la mort remontait à la veille, en début de soirée. Le père avait été abattu, de 2 balles de revolver dans la poitrine, la mère et la fillette, chacune d’une balle dans la tête. Jusqu’à ce jour aucun élément n’avait put apporter aux enquêteurs la moindre piste.
Patrice et Cristelle Robant s’étaient connus au C.P. et ne s’étaient plus quittés. Ils s’étaient mariés à vingt ans. Un an plus tard naissait leur fille Roanne ; Electricien, à dépannage D, Patrice était bien vu de tous. Mère au foyer, Cristelle était perçue comme une femme douce et plutôt effacée. Le couple venait d’acquérir une maison, dans les nouvelles constructions jouxtant « le bois de la sauge » ce qui explique, qu’il n’y avait eu aucun témoin.
La mère de la jeune femme à déclaré ce matin à notre journaliste :
« Nous espérons que cette arrestation donnera une réponse aux questions que nous nous posons. Comprendre ne mettra pas fin à notre douleur mais nous aidera peut-être à faire le deuil » fin de citation.
Actuellement, le suspect est entendu dans les locaux de la gendarmerie de Fraysson.




Mars 1999


Pourquoi suis-je allez voir mon généraliste ce jour là ? Cela faisait un bout de temps, en allant faire mes courses, que passant devant sa plaque je me disais : Il faut que j’aille voir le docteur Besquiet ; je vais vraiment trop mal.
Jusque là, je m’étais contenté d’y penser. Je n’avais pas envie de faire l’effort d’entrer, d’attendre, etc...
Depuis la mort de mon père je n’avais, plus envie de rien, et encore moins de faire le moindre effort.
On perd tous un jour ses parents me direz-vous. Oui ! Bien-sûr...
Certain se croit obliger d’ajouter des phrases idiotes, qui me donnent envie de les étrangler pour les faire taire, du genre :
- Ah ! Oui mais à son âge ! Il fallait vous y attendre. Ou encore « Il à bien vécu quand même et il n’a pas souffert, c’est la vie... »
Taisez-vous ! La mort, est la mort ! La perte d’un parent quel que soit son âge où le votre est perdre un être cher et c’est un morceau de vous que l’on met au cercueil.
Etre orpheline, à vingt, où à soixante ans c’est... Etre orpheline. D’un coup j’étais orpheline. Alors vos simagrées, vos mots creux qui se veulent consolateurs ayez la pudeur de les garder pour vous !
Moi, c’était mon père à moi. Plus jamais il ne me parlera, même pour m’engueuler. Ne me sourira et plus jamais ne prononcera mon prénom ...
Dieu sait pourtant, que ce prénom, je le déteste... Solange !
« Ange au sol » disaient mes copines d’école. Cela avait un petit coté déchu.
Plus tard, j’ai ôté le « sol » et gardé l’ange. Je suis devenue « Angie » pour tout le monde sauf pour papa qui jusqu’à son dernier souffle m’a appelé Solange.
Finalement c’était bien, cela faisait comme un petit mot à nous.
Papa n’était pas démonstratif.
J’avais dix-huit ans, la première fois, qu’il m’a dit : Ma chérie.
Ce jour là j’avais du être particulièrement à la hauteur.
Il n’était pas méchant, c’était même un homme bon, qui n’aimait ni les cancans ni les histoires. Mais, râleur, perfectionniste, un tantinet autoritaire. Il aurait voulu que je sois comme lui, droite, intègre, ponctuelle et travailleuse. J’étais le contraire, un peu par nature un peu pour l’enquiquiner, surtout au moment de l’adolescence. Entre nous ce ne fut pas vraiment l’osmose. Il piquait des colères noires en me faisant la morale.
Je ne l’écoutais pas ou si peu... Car, il n’avait pas le ton pour le dire. Il me braquait. Je n’évadais dans ma tête et n’entendais plus rien.
Pourtant, papa, était mon Dieu. Mais un peu trop Jupiter.
Quand j’ai voulu partir de la maison, j’avais vingt ans, et des rêves de liberté. Il me fit un laïus de deux jours, tempêta sur les nouvelles mœurs, le non respect de la jeunesse,
Et... Paya la caution de mon studio. Ma mère, y fut bien pour quelque chose, c’est elle qui signa le chèque. Mais papa était d’ accord.
D’accord, enfin... De ce genre d’accord bourru qui voulait dire qu’il ne l’était pas.
- Oui ! Oui ! T’as raison de toute façon, y a rien à dire t’as toujours raison. Tranchait-il d’un ton sans réplique en sortant généralement de la pièce.
Papa ne m’a jamais comprise et souvent secouée. Au sens figuré, car jamais il ne m’a frappée, ni même levé la main sur moi. Seul mon prénom, claquait comme un fouet, quand il était en colère et je le recevais en pleine face comme une gifle. Petite lui seul savait me faire obéir. J’étais une gamine odieuse, têtue, tapant du pied et répondant violemment quand on refusait ses caprices. Je n’avais peur de rien ni de personne. Sauf... De papa. Lui je le craignais. Non pas que j’eusse appréhendé des coups ou des punitions. Non c’était bien pire, j’avais peur qu’il ne m’aime plus.
Alors je me taisais et bon gré mal gré faisais ce qu’il me disait.
Lorsque ma mère est décédée, il y cinq ans, j’ai été dévastée de chagrin. Je perdais une protection, une confidente, j’étais larguée, plus de conseil, plus de refuge, il me fallait assumer autrement, vivre ma vie sans filet. A ce moment là, j’ai mûri, enfin un petit peu.
Car je crois, que finalement, je n’ai jamais été réellement adulte. Les enfants jouent à faire semblant, les adultes jouent à être des enfants. Moi j’ai grandi, devenue une femme, je ne jouais plus mais continuais de faire semblant.
C’est quoi au juste devenir une femme ?
Avoir ses règles ? Ses premiers rapports sexuels ? Mettre des enfants au monde ?
Je n’en sais rien. Un jour on vous dit : Tu ne peux plus, être comme ci ou comme ça, où faire, ci où cela. Tu es une femme maintenant. Ah ! Bon...
Quand cesse t- on d’être une enfant ? Ca je le sais.
C’est quand vos parents meurent.
Depuis deux mois, je lutte pour bien me rentrer dans la tête le fait que je ne suis plus une enfant. Donc, une adulte c’est à dire une femme, dans le sens responsable du mot. Et je n’arrive pas à m’y résoudre. Je me coupe du monde, je m’enferme chez moi, je me regarde dans la glace et ne me reconnais plus. Je trouve soudain mes rides plus marquées, je ne me sens plus d’aimer ni d’être aimée. Je suis une lépreuse mentale qui n’a rien à voir avec les autres gens.
Quelques mois avant la mort de papa, je me suis retrouvée au chômage. C’est cool, j’ai même pas besoin de sortir, pour aller à un boulot alimentaire de merde. Je peux rester dans ma chambre, rideaux tirés, à penser à papa tout mon soûl, à mon enfance, à cette moi qui n’est plus moi, puisque plus personne ne se souviendra qu’il pleuvait le jour où je suis née. C’était la guerre, papa traversa Paris à pieds, pour me voir. Je suis née à midi, papa est mort à midi...
Plus rien ne sera jamais pareil et jamais plus je ne serais Solange.
La raison pour laquelle, en ce jour pluvieux de Mars, je suis allée consulter mon généraliste. Ce sont mes insomnies. Je ne dors presque plus. Lorsqu’à quatre, cinq heures, du matin j’arrive à m’assoupir c’est pour sombrer dans des cauchemars qui m’éveil en sueur.


* * *


En revenant du super marché, sans l’avoir vraiment prémédité, j’ai poussé la porte du cabinet.
La salle d’attente, moche et triste à hurler, avec ses chaises en plastique d’un jaune pisseux, assorti à la peinture murale, était pour une fois presque vide.
Une femme, la cinquantaine, lèvres minces, menton en galoche, se tenait assise prés de la fenêtre. Serrant un sac en vinyle contre son abondant giron, complaisamment, elle écoutait, les deux perruches qui caquetaient installées sous le poster, « neige éternelle » d’un quelconque glacier, censé décorer la pièce.
Sujet de ses dames : La maternité.
Je posais le bout de mes fesses aussi loin que je pusse d’elles et laissais tomber bruyamment sur le linoléum, façon dallage beige et marron, mon sac de provisions.
L’une d’elle, la trentaine, mince, jolie, portant lunettes tourna à peine la tête au bruit, trop prise par les détails de son accouchement.
L’autre, enceinte jusqu’aux yeux leva, l’espace d’un instant, un regard bovin sur moi.
Impossible de lire, ni même de penser, l’étalage de leur vie prenait tout l’espace vital.
Je n’avais pas la force de me lever et de partir. Elles me fatiguaient et j’avais l’impression d’être un insecte englué dans la mélasse.
Je hais les femmes enceintes, depuis aussi jeune que je me souvienne j’ai toujours détesté ses ventres obèses, ses femmes fiers d’être déformés portant, en pleine lumière, le résultat, des secrets de leurs nuits. Une femme enceinte est pour moi une monstruosité. Procréer est l’acte le plus bête qui soit, celui que l’on maîtrise le moins, sauf médicalement assisté, le plus vil des animaux se reproduit. Alors ces « poules » pondeuses qui, semblent être des super-femmes, parce qu’elles sont « porteuse de vie »me hérisse. De vie ! Oui, mais de qu’elle vie ?
Que mettront-elles au monde ? Peut-être un serial killer. Ah ! Mais la question ne se pose même pas. La terre est peuplée d’une majorité de fous, de détraquées de dealer, de merde humaine, mais elles, elles vont créer des perfections.
Surtout celle qui était devant moi, avec son teint blafard, ses cheveux ternes en queue de cheval et ses yeux porcins, elle pensait faire une merveille.
Eh oui ! Le moutard qu’elle avait dans le bide était une future... Sidonie.
L’autre, avait un Orlando super génial, quoiqu’un peu dure et qui, à la naissance, l’avait fait beaucoup souffrir au passage.
Même que la pauvre chouchoute, avait été recousue. Mais sans importance ! Elle était de nouveau porteuse.
- De combien ? S’enquit la grosse toute émoustillée.
- Trois mois. Susurra lunette qui, moulée dans une robe tilleul, était aussi plate qu’une ados.
- Oh ! Ça se voit pas. S’extasia yeux de bœuf, moi je prends tout de suite. Pour mon aînée, qui a cinq ans, j’ai pris trente kg et pas tout reperdu.
Dame nature n’étant pas égalitaire, la lunetteuse, pour son Orlando, n’avait pas dépassé les dix kg et retrouver sa ligne, avant qu’il n’est eu sa première quenotte.
Se qui mit dans la prunelle de la grosse une lueur envieuse.
La porte d’entré livra passage à un grand type, dans sa main droite une rose et dans l’autre la main d’une petite fille.
Il s’approcha de la grosse, lui tendit la fleur, elle le remercia en lui tendant ses lèvres, en disant énamourée
- Oh ! Patrice comme c’est gentil.
La gamine s’était ruée, sur le ventre de sa mère, peut-être avec le vague espoir d’en faire gicler la petite sœur.
Présentation, bien sur, à « lunette »
- Mon mari, Patrice, et Roanne ma fille.
- Valérie. Fit miss lunette avec un sourire de circonstance.
Le mari prit place auprès de sa moitié, qui faisait son double, et la conversation bébé reprit entre les deux femmes.
La minotte, debout entre son père et sa mère ce tourna d’un coup, son regard accrocha le mien. Elle n’était pas jolie. Un petit nez, au milieu de grosses joues, la blondeur filasse du père, l’air porcin de sa mère. De ses petits yeux marron elle me regarda, comme si elle voyait, elle, ce que les autres ne voyaient pas : Ma haine.
Montant en moi, elle me gonflait de minutes en minutes comme une montgolfière.
Cet homme gauche, cette femme moche, cette gamine qui sera dans quelques années ainsi molle et pleine que sa mère, étaient là bien vivant à sourire, à plaisanter en attendant la vie...Alors que mon père n’était que cendres et que tout mon être était porteur de mort. De quel droit ces bouseux me provoquaient-ils avec leur avenir rose et bleu, leur santé resplendissante, leur fleur promesse d’amour.
Les miennes étaient des « rosalies » elles signifiaient, le dernier geste, l’adieu.
L’enfant semblait lire en moi, elle s’appuya contre son père et, comme un rat fasciné par un python, elle ne bougea plus.
Ce petit bout de femme, était une enfant, forte de son père, toisant une femme âgée, qui, en fait, n’était qu’une petite fille qui avait perdu son papa.
Que présentait-elle ? Que comprenait-elle d’instinct ?
Son visage était dure, sérieux, attentif. Sans me quitter des yeux elle se colla à son père davantage et posa une main sur sa cuisse. Ce geste ne voulait pas dire « Papa protège-moi, mais plutôt, je le garde, c’est mon papa » Ce n’était plus tout à fait une enfant mais une femme qui me défiait. En elle on pouvait déceler tout se que son patrimoine génétique lui avait transmit, elle serait maternelle, épouse dévoué d’un mari qui lui ferait des petits dans un monde bien réglé, où on parlerais, maternité, crèches, vacances et retraite.
Une femme était ce cela ? Etre programmée ? Comme cette enfant qui avait les cheveux de son père, les yeux de sa mère et qui deviendrait aussi sotte et insipide qu’eux.
Je n’avais pas étais cette petite fille, même si nous avions de commun, les joues rondes et les cheveux blonds. Je n’avais jamais été programmée, j’étais une rebelle, je ne voulais pas être une femme. Mais, un être, un être libre sans chaîne, sans obligation et sans étiquette.
De quel droit me défiait-elle de ses yeux d’adultes, appuyé à son père, alors que je n’avais plus le mien. Elle serait tombée morte foudroyée à mes pieds, je n’aurais pas fais un geste, je l’aurais regardé, comme elle me fixait à cet instant, froidement.
Le docteur sortit enfin, reconduisit son patient et vint à nous avec «un à qui le tour » tout sourire. La grosse se leva péniblement en disant à la dénommée Valérie.
- Au revoir et bonne chance pour le bébé !
- Bon accouchement. Renchérit cette dernière.
D’un pas de canard elle suivit le mari qui avait prit leur fille par la main.
Tenant la porte de son bureau le docteur dit lorsqu’elle passa devant lui :
- Alors ! Madame Robant pas trop fatiguée, ca va ?

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