Les liaisons rêveuses

Les liaisons rêveuses


Cela fait des années que je t’appelle en vain
Depuis le firmament des rêves sibyllins.
Tu ne m’y rejoins plus comme au temps de ces soirs
Où chaque clair de lune écoutait nos histoires.
 
Te souviens-tu Amie, de cette fin d’été ?
Des heures endormies, quand rit la Voie Lactée ?
Des chemins vespéraux empruntés par nos âmes,
Alors que sur nos corps, Morphée jouait ses gammes ?
 
Affranchis de nos chairs et de ce lourd squelette,
Nos esprits libérés pouvaient vivre la fête
Des cœurs à l’unisson d’une passion commune,
Insensée dans la vie, normale sous la lune.
 
Les lendemains heureux, nous échangions nos rêves,
Au chant du rossignol qui ranimait la sève
Des forêts de mots doux, des jardins de tendresse
Où nous folâtrions, ô mon enchanteresse.

Tes liaisons rêveuses sont superbement nostalgiques, Oiseau Lyre !

Je te souhaite de nourrir de nouvelles liaisons et qu'elles soient langoureuses.

Avec mon amitié.

Roger.

Merci cher Roger d'être passé sur mes mots et ces évocations nostalgiques.
Avec amitié,
Oiseau lyre

liaisons rêveuse ou utopiques plein de sentiments nobles d'un futur poète
persévéré en ce sens
au plaisir de vous lire incessamment

Merci infiniment pour ce gentil message et ces encouragements !
Bien amicalement,
Oiseau lyre

une rêverie nostalgique, et un alexandrin qui la sert bien
je rêve de vous voir vous ébrouer, caracoler dans l'audace

Une poésie toute aérienne qui  nous amène dans un univers de tendresse

Mille merci Michel et Fée des blés pour ces paroles encourageantes !
Bien amicalement,
Oiseau lyre

Quatre quatrains d'alexandrins
qui nous transportent dans un univers de tendresse