Mort, Temps, et Sentimentalisme

C'est la mort qui dessine
Des serpents invisibles
qui s’amassent et s'engagent 
à briser mes semblables.

Est-ce mes yeux qui s'enraille?
Ou mes sens qui s'enrages ?
C'est un destin de braille
Qui, je le sais, nous dérange.

En somme l'amour décide
De s'enfuir loin d'ici,
Et nous laisse, sans défense,
Face a ce monstre immense
Car oui: 

C'est la mort qui décide
Qui sera le suivant
Et ma joie qui décède
Quand sa faux te démange.

Dois-je partir en dérive?
Dois-je garder ton sourire?
Des souvenirs qui décrivent
Des dizaines de fous rires? 

On est déjà dimanche 
Demain tout recommence.
Et dans dix ans encore,
Demain tout recommence...

il y a beaucoup de douleur dans ce poème.
nous sommes fragiles.
vous réussissez à l'écrire, à en imprégner vos mots.
et c'est très beau

merci beaucoup.
heureusement la tristesse n'est qu'une part le vie qui nous laisse de temps en temps de quoi se rejouir :) nous voila donc sauf!
Ravie que ca vous plaise et a bientot.