Velléités

Futilités ou velléités langagières?...
Si c'est le second cas, que vous êtes dur avec vous-même... Je serai d'avis de dire, que n'étant sûr de l'existence de rien (ça peut paraître ridicule, mais je considère que n'étant jamais allé aux États-Unis, il est possible que ce pays n'existe pas!), je ne peux pas considérer que ce que je fais et ce que j'écris est purement futile. Ainsi, énormément de choses que l'on pense sont basées sur des convictions, en somme des croyances, et on ne peut être sûr de rien. Y compris vos "velléités", que vous devez considérer ainsi parce que le commun des mortels les considère comme choses futiles, ou bien parce vous vous en êtes persuadé vous-même. Je ne crois que ce que je vois, disait Saint quelque chose, et tout le monde est myope.
Et puis, vos vers sont de qualité, très franchement!

Il s'agit d'un simple exercice avant tout esthétique. J'aime bien endosser la peau de différents personnages. Et puis ne suis-je pas le commun des mortels ? Mon grimoire pourrait vous apprendre à mieux me connaître.

Merci de votre visite et de votre commentaire.

Poétiquement vôtre.

Roger.

Joli poème! Ce sont ces petites choses de la vie qui nous font tels que nous sommes. Juste une petite faute "des pulsion(s)" (pour une fois que je peux en relever autre part que sur mes poèmes :) ).

Merci Phidias,

Décidément, je ne suis pas assez attentif à ma frappe machine et à ma relecture de mes écrits.

Amitiés.

Roger.

Voilà un poème qui parle à nos "âges"... où restent les désirs, mais où règne aussi l’impermanence des êtres et des choses.
A 15 et 17 ans nous nous croyions immortels !!!

Comme Clairelyse, je pense que lorsqu'on est jeune on se dit qu'on a toute la vie devant soi... sans pour autant savoir ce qu'elle nous réserve.

On prend la vie à la légère et à la légère nos petits tracas comme nos petits désirs, et puis le temps passe faisant son oeuvre.

J'ai encore aimé ce poème.

Merci pour le partage

Merci pagnolesque,

La vie nous accapare de bien des façons et le temps est si fugace que l'on ne peut pas tout capter.
Amitiés.

Roger.