deux truques...

Le traitre


 


Il avait une famille, et avec elle un avenir


Un bonheur gratuit, et avec lui l’ennui


Il avait une patrie, qu’il voulait punir


Dans un bonheur volé, il rêve de courts-circuits


 


Sur une terre où fortune se fait par tyrannie,


Tu en profite à l’infini !


Là où les atomes s’attirent pour mieux se bouffer


Putain de sale volupté


Toutes ces promesses… Tous ces contes


Pour en arriver à ce bonheur de voyou ?


Le bonheur amène la honte...


La conscience mène au dégout.


 


 


Que faire? Que penser? Que croire et qu’envier!?


Quand les coups de couteaux qui t'enclosent trahissent


Cette sale solution qui s'impose à toi, oh destin détestable,


Tu t'enfuis, pauvre lâche, tu profite, pauvre ivrogne!


 


Jusqu’au jour ou ta honte agonise


De ses cendres s'élève ta haine, ta force!


Le couteau tu le tiens 
aujourd'hui


 


Va! Dans les bras d'eris!


Embrasse la, et renie!


Ta vie ton œuvre, ton spleen!


 


Frappe! Et fuis!




Un autre, beaucoup moins travaillé, une vraie "pulsion" sans interet... et pourtant mes potes le préfèrent...
Je suis un bouffon.

Tout juste bon à la faire rire
Mais excellent pour la pleurer
Amant d’un sourire
Profiteur de baisers

Elle voulait s’amuser
Je lui ai dit « je t’aime »
Elle à répondu « désolée »

Et pourtant je le savais
Connard de libertin qui ne sait mentir
Et même dans cette saleté
Même lui je suis incapable de haïr

Maintenant mes rêves me font mal
Je ne marche plus qu’en fermant les yeux
Car au bout du chemin la pente est brutale
Elle s’appelle « oubli » et elle fait…. Mhheeuuu

Ba ouais l’oubli est une vache par ce que je trouve pas de rimes en « -eux »... Et puis merde c'est pas mon genre d'être triste!

Z'en pensez quoi?

Bonjour,

je suis toute nouvelle içi ,j'aimerai partager avec vous mes états d'âme ...

Un sablé infidèle d'amour

Des yeux mouvants de sable
Or et doré des trésors dérobés
Des amours trahis, engloutis
Désertants, dune soufflée
De vent ravageur d'anneaux dorés
Ensevelis dans des tas de sable
Entre souffle d'or d'oublie
Éblouie de vent nouveau
Sablier des jours s'écroulant,
Grain de sable blanchit, noircissant
Ces instants magiques maléfiques
Sable brûlant fraîcheur d'amour
Mêlant corps et âme
Traversant de nouveaux horizons
Désertant de jour semblable
De dune en dune instable
Quand le désert avance
Poussé par les vents
Amours et sables mouvants

Des sables aussi mouvants que l'amour.
J'aime assez la métaphore.