Ghaza

Je joins mes larmes à celles des enfants effarés,
Des mamans éplorées et de tous ceux qui ont
Perdu un parent proche, un bébé au giron,
Ou celui que la veille ils avaient rencontré

Je joins mes cris à ceux des âmes offusquées,
Meurtries et désolées de tant de barbarie,
Injustice flagrante aux yeux d'une fratrie
Muette et silencieuse,qui donne la nausée

Je pleure le sang coulé, de mes frères et mes soeurs
Je pleure l'indifférence de ceux qui ont peur
De dénoncer ces crimes contre l'humanité!

Je crie ma colère, ma honte et ma haine!
Je crie mon dégoût envers la race humaine
Capable de tant d'horreur et de bestialité!

O2r

Pas eux...
Ils sont notre avenir.
Comment peut-on tuer son avenir ?
L'humain est dégueulasse !...
Je suis né en 1952, nous étions 2,6 milliards d'humains.
Nous sommes aujourd'hui 6,5 milliards.
Je ne fais plus partie de ce monde, il est trop petit pour moi.
Je préfère rêver dans l'autre.
Là, il y a toute la place que je désire.

Für Cassandre
Nicht sie…
Sie sind unsere Zukunft.
Wie kann man seine Zukunft töten?
Das menschliche ist entsetzlich !…
l n Ich bin im Jahre 1952 geboren geworden, wir waren 2,6 Milliarden menschliche.
Wir sind heute 6,5 Milliarden.
Ich gehöre nicht mehr zu dieser Welt, er ist für mich zu klein.
Ich ziehe es vor, im anderen zu träumen. Dort gibt es die ganze Stelle, die ich wünsche.

Sonnet douloureux pour une situation humaine des plus insensées.
Celà n'empêche que sur le plan poétique ce sonnet est très beau.