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Si toi aussi, tu entends souvent ton cœur parler à ta plume, viens déposer tes escarpins dans l'empreinte de nos pas.
Tu pourras alors alimenter cette rivière afin qu'elle devienne un fleuve prolifique de douceurs où tous, nous venons à notre tour, pour y tremper notre plume féconde.
Et cet affluent de pensées innombrables finit sa course magnifique dans un océan de lumières.
J'aime cet idée de partage.
Elle devrait régir le monde sans aucune faille.
Pour que nous regardions tous dans la même direction.
C'est pour cette raison que nous aimons tant la poésie... Et les poètes !...
Gérard SANDIFORT alias Sandipoete
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 Sous des âmes réprobatrices (ou la morale en liberté)

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Marine Dhermy
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Marine Dhermy

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MessageSujet: Sous des âmes réprobatrices (ou la morale en liberté)   Sous des âmes réprobatrices (ou la morale en liberté) EmptyVen 21 Mar 2008 - 15:16

Sous des âmes réprobatrices
Ou la morale en liberté


Les chouettes aux yeux jaunes hululent leurs derniers appétits avant le réveil des mésanges noires.


Un homme dégingandé déambule sur la plage grise et déserte. L’air hâve, son regard se perd dans la brume matinale qui se confond avec la mer pâle et moyennement étale. Il vient tous les jours ici pour laisser vagabonder ses pensées, revisiter le dernier concert vu la veille. Hier, c’était le concerto pour violon et orchestre n°1 en sol mineur de Mendelssohn. Admirable concert pour les rêveurs, parfaitement adapté à notre homme. Le son suave du violon d’Anne-Sophie Mutter habite son âme de mélancolique. Il fredonne un air aussitôt emporté par la brume pendant que le temps alerte se suspend. Il est là, seul, face à l’immensité de la mer qui s’offre et résiste à lui, un gouffre impalpable dans lequel on ne peut (que ?) plonger. Gracile, vêtu d’une redingote à l’anglaise, on dirait un dandy du XIXème siècle. Voulez-vous vous en assurer ? Approchons je vous prie. Malgré ses yeux égarés, il semble être en quête de quelque chose car il sait toutefois qu’il n’est pas seul : le grand architecte du monde le poursuit inlassablement comme une ombre nonchalante, idée qui le hante. Nous avons repéré cet être par sa démarche. Son visage n’en est pas moins émouvant. Quel homme étrange, ne trouvez-vous pas ? Rasé impeccablement. La moustache dont les pointes remontent jusqu’au milieu des joues est parfaitement lissée et amincit son visage déjà anguleux. Raie sur le côté droit. Une mèche pend élastiquement sur son front côté gauche, attendant vainement les doigts du quinquagénaire – non, notre homme aura 24 ans – attendant vainement disions-nous le passage des doigts du jeune homme dont le plaisir est constant à soigner son apparence mondaine. Aujourd’hui, la mèche est négligée. Notre homme réunit deux attitudes opposées, comme s’il balançait entre les deux ou comme s’il ignorait que nous le scrutions. Sa mèche délaissée jure avec son air aristocratique. Les cernes sous les yeux signifient qu’il est éreinté de séparer son âme en deux ; il se déplaît dans l’hypocrisie. Non diantre, je ne suis pourtant pas fatigué. Il s’arrête pour contempler l’écume, des moutons lui avait-on dit dans sa jeunesse. Mais non papa je ne vois pas de moutons sur la mer ! Magnifique preuve de son innocence poétique. Mais aujourd’hui était un autre jour. Désormais, il les voyait ces moutons. Les adultes disaient décidément toujours la vérité. Le bêlement des violons accompagna cette pensée. La peau de moumoute venait déferler sur la shore recouverte par les algues lors des grandes marées. Suivant le rythme de la musique, il se baissa, remonta sa redingote raidie par le froid, plongea ses mains blanches dans la mousse glaciale, leva au ciel ses mains jointes remplies d’écume verdâtre – mon Dieu que les couleurs étaient belles, paisibles et sinistres ! – et massa son visage transi. Puis il se releva, si rapidement !, honteux. Il pivota sur lui-même pour regarder s’il était toujours seul, essuya ses joues à l’aide d’un mouchoir alors blanc brodé des initiales A.Z.

Suivons-le. Quelle allure ai-je dorénavant ? Effectivement, où donc était passée votre âme pour vous souiller de la sorte ? Mon âme devait tourner son regard vers le passé. Pensiez-vous au futur ? Reviens au présent, veux-tu! Il est vrai que cette immensité trouble nos repères – nous-mêmes sommes confondus. Il devisait délicieusement de son propre état lorsqu’il aperçut un oiseau. Un papillon ? En mer ? A cette époque ? Oui sans doute pensa-t-il. Il est fou. Qu’en pensez-vous ? Non pas du tout. Les hommes mélancoliques et solitaires vivent leur monde, inventent leurs propres histoires, leurs propres fantasmes, chantent seuls, inspirés par le trouble de la nature. Il se détourna de la mer, fit trois pas en avant, revint à sa position initiale puis tenta de repérer immobile l’horizon diffus de cette mer brumeuse. Là, devant, un rocher imposant empêche la mer d’occuper tout l’espace. Il trône, puissant, refusant la couronne maritime, défiant la brume qui voudrait l’étouffer. Le jusant des vagues grésille comme un bâton de pluie et semble vouloir entraîner son ennemi vers le large, comme si après tant de millions d’années de lutte, il ne désespérait pas de vaincre pour la gloire de Poséidon. Progressivement en effet, le rocher se démembrait, se désagrégeait, vaincu à petit feu par des offensives constantes, discrètes et pernicieuses par temps calme, explosives et frontales par tempête. Le rocher magnanime sait qu’il est voué à disparaître. L’homme est à son image, rongé par le temps, minuscule dans cette vaste plaisanterie. Un tableau de Friedrich qu’il adorait accompagna cette pensée et le fit tressaillir de modestie. Il y voyait un homme, un seul, face à la mer, vu de dos, le ciel immense au-dessus de lui. Il y voyait un homme, seul, sur la terre ferme, minuscule devant une bande de mer infinie. Il y voyait un homme, réduit à néant et vivant pourtant, inanimé d’une incompréhension passionnée. Mélancolique, il se livrait à ces douces rêveries belles et sinistres lorsqu’il aperçut dans le ciel de frêles ailes de papillon. Mais nous étions libres ! N’était-ce pas finalement ce qui comptait le plus ? A cet instant, il n’y crut plus. Son cerveau lui jouait des tours et imprimait comme sur une page blanche inoffensive les marques de son désir le plus insensé : la liberté. Non, non, la vie n’était qu’une farce grandiose, orchestrée par le grand architecte du monde. Comment serait-ce possible autrement ?

5h56. La brume commença à se lever à proportion de ce qu’un vent doux soufflait légèrement sur sa chevelure brune et reluisante. Le monde des vivants allait bientôt perdre de son intérêt. Le bourdon finirait par se réverbérer dans les âmes chétives de toute la ville, dont les lumières apparaîtraient une par une, deux par deux, de manière exponentielle jusqu’à inutilement éclairer davantage que le soleil lui-même. Des femmes ouvriraient les persiennes, apparaîtraient décoiffées aux fenêtres, pendant que leur mari derrière elles seraient en train de mettre leurs chaussettes. Les premiers enfants sortiraient dans la rue pour jouer au ballon. Ensuite, les hommes iraient au travail. Les ouvriers d’abord, revêtus de leur habit de travail graisseux et troué. Les cadres ensuite, les fonctionnaires, habillés élégamment, gants blancs, col blanc repassé à souhait, monocle. Ils iraient faire un tour de plage avant d’aller travailler pour oublier les reproches de leur femme essuyés la veille. Chacun rentrerait dans l’ordre social qui s’était si bien assoupi cette nuit. Mais non, la cloche le réveilla, elle qui rythmait la journée, la danse des masques et des marionnettes. Oui, décidément, il était temps de rentrer pour ne pas rencontrer cett gente. Notre homme sortit un cure-dent et piqua ses joues comme pour vérifier qu’elles n’étaient pas totalement anesthésiées par le froid, et se mit en route. Il chercha des yeux la jetée, quasiment inconscient. Nous le voyons s’éloigner lentement. Démarche admirable.


***

Je dérivai lentement, absorbé par des pensées confuses sans même m’apercevoir que je marchais dans l’eau, lorsque je fus brusquement arrêté par un rire franc qui me ramena à la réalité. Au loin, des enfants me faisaient des signes incompréhensibles, gesticulant comme une mégère affolée. Je sortis une lorgnette de ma poche droite et les observai en feignant de ne pas les voir. Oui, c’était bien de moi qu’ils se moquaient. Je les ignorai et me surpris de nouveau à rêvasser ici et là dans les interstices de ce que le jour me refuse à penser. Confus et honteux de ces pensées amorales, mais fier, je m’exclamai : au diable les conventions ! Aujourd’hui, je suis de la plèbe, dit-il en remettant délicatement et avec grâce ses gants blancs sur ses mains bleues après s’être passé les doigts dans sa belle chevelure. En ville, les dernières péripatéticiennes attendaient un dernier client suffisamment sobre pour avoir encore en poche de quoi payer quelques minutes d’échappatoire.


***


Telle semblait être la double vie de notre homme : dandy la nuit, le jour vagabond... Tenez, nous l’avons retrouvé ! Une heure plus tard, A.Z sortait effectivement d’une villa par une petite porte annexe du portail principal, située à deux mètres de lui. Cette vieille porte semblait avoir été construite récemment de manière très grossière. De vieilles planches échouées sur la plage la nuit, de gros clous récupérés ça et là ; d’énormes gonds plus larges que les tenants de la porte si bien qu’elle risque de s’écrouler à chaque impulsion de mouvement ; tout cela suffisait à construire une porte digne de ce nom. Assez solide parce qu’épaisse, son poids seul lui évitait de basculer. Construite de bric et de broc, son apparence contrastait considérablement avec ce magnifique portail doré, gravé des initiales A.Z, sculpté à la manière du gothique flamboyant. On ne distinguait pas la villa parce que dissimulée par d’épais hêtres bicentenaires et quelques saules pleureurs ici et là. Le portail donnait sur un grand jardin à l’anglaise. En cette saison, les arbres conservaient tant bien que mal les dernières feuilles rougies par le temps et le parterre était parsemé de cette peau morte gorge-de-pigeon que le vent balayait et faisait tournoyer en l’air pour former une atmosphère quelque peu fantastique. On inférait la noblesse de son propriétaire plus que ce qu’on ne la voyait. Quelle magnifique espace ! Ce jardin doit être sublime en été, n’est-ce pas ? En effet on pouvait l’accorder mais qu’en pensait A.Z ?

Nous habillerons désormais notre homme en loques. Nous l’avons rencontré lorsqu’il sortait de cette porte délabrée. Reprenons. Un homme dégingandé, au visage encrassé de poussière et aux cheveux hirsutes, marche lamentablement dans les rues sombres de la ville, trempées par la pluie, substitut brumeux, digne des fines pluies écossaises. Le dos courbé, il avance péniblement, longeant les murs grisâtres, une main sur le ventre, l’autre s’appuyant sur la paroi verticale rugueuse. Le regard perdu, son visage laisse transparaître une souffrance morale aigue, comme un sage qui meurt alcoolique et affamé d’avoir trop pensé. N’est-il pas patent qu’un nombre considérable de poètes se réduisent psychologiquement par leurs réflexions à un état de sur-humanisation pitoyable, domptés par la souffrance de l’incompréhension du monde et des phénomènes humains, détruits par la compréhension fine de l’inanité des choses? N’allons pas imputer trop vite à notre homme un état d’intellectuel perdu. Avec ses guenilles pour seules armes, personne n’ose l’approcher, à l’exclusion des charmantes petites bestioles, sa seule compagnie, dont il ne parvient pas à se débarrasser. Esseulé, ne sachant où aller, l’homme frôle les ombres du jour, projetées sur les murs, seules réalités qu’il ait le droit de toucher. Les choses se refusent à lui, qui semble pourtant si averti, les yeux brillants d’intelligence. Mais non, les choses se dérobent sitôt qu’il tente de les approcher. Enfin seul. Ces dames auraient pu me trahir. Elles, on pouvait les toucher. Plusieurs billets neufs en poche, il s’arrête à chaque poubelle devant les yeux blasés et méprisants des passants nantis. Ils n’avaient qu’à travailler ces gens-là ! C’était simple. A bas l’Etat-Providence ! Ils n’avaient qu’à crever ces bandes de fainéants. Esquivant un crachat, l’homme laissa couler une larme de bile, noire d’un mélange de haine et de faiblesse ; il se recroquevilla sur lui-même attendant patiemment le terme de l’affront. Tel, soumis, courbé, il courait se réfugier dans l’interstice de deux maisons ;le moindre coup de bâton lui eût ébranlé les jambes. Seule sa force d’âme lui épargnait la souffrance de se voir humilié devant le miroir honteux des nantis. Un jour, lui aussi serait comme eux. Lui aussi ferait délicieusement virevolter son parapluie froufrouté. Oui, un jour, lui aussi agiterait sa canne ravissante de manière distinguée contre le décolleté de sa belle. Ils verraient bien, eux, qui il était. Alors, ayant terminé sa harangue, il chantait intérieurement der König in Thule : il y ressentait la mer, lui veuf, avide de vin rouge, ne pensant qu’à couler dans un flot de sang.


Die Augen Täten ihm sinken;

Trank nie einen Tropfen mehr.


Mourir! Il y pensa. Plongé dans ses rêves aussi désirables que peu enviables, il jouissait de sa pénible condition et fantasmait sur les tableaux allégoriques accrochés aux murs de sa maison qu’il passait des heures à contempler de nuit, éclairé par une bougie. Il avait le sentiment qu’une certaine symbiose entre lui et l’univers pictural se formait, loin du carcan normatif de la vie au soleil. Il y voyait sa propre interprétation du réel, particulière donc universalisable en vertu de son Humanité. Le tableau lui paraissait être le modèle d’un monde idéel, idéalisé, le sien. Il vivait la nuit et mourait le jour, le soleil le consumait, la lune l’accueillait pour lui former un agréable berceau de lumière. L’avènement de la société signait son agonie quotidienne quand le monde vivant n’était que nature morte, empreint de sérieux et de subtilités basses auxquelles l’inférieur devait s’esclaffer en vertu de la vanité du supérieur. Son monde à lui était ironie, tempête, écarts, mélancolie. Oui, décidément, il était un paria de la société. Travailler ? Pour se sociabiliser ? Oui monsieur, vous êtes seul responsable de votre vie. Il n’en était pas question. La profession ne devait pas l’obliger. Il était libre, du moins s’en persuadait-il. Oui c’était cela.

L’homme arpente les rues de la ville-fantôme. L’écume a séché sur son visage et forme une sorte de fond de teint verdâtre. Il dérive, selon les impulsions d’une âme aussi chétive que puissante qu’il ne contrôle plus. Une force singulière le pousse dans les lieux les plus reculés et glauques, comme si à chaque espace successif correspondait un état d’âme différent – ou était-ce l’inverse ? Regardez-le fixer ce mur décrépi ; avec une telle attention ! On y voit un paysage. Non, le monde plutôt. Une carte géographique, l’Europe au beau milieu. Les lichens dessinent les contours précis de chaque continent sous couvert des irrégularités hasardeuses. Les couleurs donnent aux surfaces maritimes toute leur substance : le gris apparaît légèrement bleuté, d’une granulométrie fine comme si un enfant s’était amusé à colorer du sable fin sur une feuille pour y former le globe terrestre. L’enfant, c’est lui. On le lui avait bien dit : Regarde, la terre est comme cela, un volumen de particules
en suspension, séparées par du vide, collées sur une feuille blanche. Toi, tu es une toute petite particule composée d’autres particules simples et autonomes mais indépendantes les unes des autres. Moi, le petit, toi le grand – il fallait grandir pour comprendre. Désormais, il comprenait. Les métaphores étaient les seules entités véritables, dignes de vérité contre un monde faussé de part en part. Au milieu du monde, ce mur mondain, une fissure verticale et irrégulière sépare le tableau en deux parties égales à l’intérieur de laquelle pousse une graminée d’un vert vif. Coincée entre ces deux façades, elle tente de s’élever en puisant sa substance de part et d’autre, mue par le souffle de la régénérescence. Notre homme semble aussi ému que désespéré. Son regard pourtant brille d’une profondeur inébranlable. D’un air contemplatif et méditatif, il poursuit son voyage intérieur, faisant une pause sous chaque fenêtre d’où sort une lumière lugubre.


***

La suite en page 2
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MessageSujet: Re: Sous des âmes réprobatrices (ou la morale en liberté)   Sous des âmes réprobatrices (ou la morale en liberté) EmptyVen 21 Mar 2008 - 17:35

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La paix
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MessageSujet: Re: Sous des âmes réprobatrices (ou la morale en liberté)   Sous des âmes réprobatrices (ou la morale en liberté) EmptySam 22 Mar 2008 - 9:34

Bienvenue Sous des âmes réprobatrices (ou la morale en liberté) 743553 Je commente plus tar

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