Cette histoire est celle de Jean le Poète

Rappel du premier message :

CETTE HISTOIRE EST CELLE DE JEAN LE POETE

Jean le Poète était un

Jean le Poète était un homme banal qui comprenait bien le Chinois. Il adorait écrire des tas d'énormités. Sa passion était toujours de détailler les limericks (was?), les haïkus que les Européens écrivent sans savoir où les emmèneront les aléas.
Libertin, imaginatif mais joueur invétéré, perdant sa fortune et sa notoriété spontanément, il avait rêvé que vivre serait fastueux comme dépenser sans honte ni retenue, pourtant il exagérait beaucoup ! Manger, s'enivrer, forniquer toute effronterie incluse mais écrire, ivresse sensuelle, abrogation de moralité et luxure omniprésente, le coeur toujours prêt d'exploser. Son ambition n'avait point de rivale et sa passion rendait impossible toute démence intellectuelle. Pourtant, souvent déçu, il entreprenait des révisions systématiques de ses abattis qu'il emmitouflait dans une espèce d'adorable pantalon gras, décousu, sans fermeture-éclair. Aujourd'hui, il n'avait point oublié la somme d'efforts fournis par son énorme vit qu'il manipulait toujours dextrement afin d'extraire toute la moelle de son pauvre membre fatigué...
Décidément, Jean devait tout faire seul ! Même se vivifier l'esprit qui battait fortement la chamade. Pourtant, sa passion reprenait toujours le dessus en bémol majeur; quel trublion

Jean le Poète était un homme banal qui comprenait bien le Chinois. Il adorait écrire des tas d'énormités. Sa passion était toujours de détailler les limericks (was?), les haïkus que les Européens écrivent sans savoir où les emmèneront les aléas.
Libertin, imaginatif mais joueur invétéré, perdant sa fortune et sa notoriété spontanément, il avait rêvé que vivre serait fastueux comme dépenser sans honte ni retenue, pourtant il exagérait beaucoup ! Manger, s'enivrer, forniquer toute effronterie incluse mais écrire, ivresse sensuelle, abrogation de moralité et luxure omniprésente, le coeur toujours prêt d'exploser. Son ambition n'avait point de rivale et sa passion rendait impossible toute démence intellectuelle. Pourtant, souvent déçu, il entreprenait des révisions systématiques de ses abattis qu'il emmitouflait dans une espèce d'adorable pantalon gras, décousu, sans fermeture-éclair. Aujourd'hui, il n'avait point oublié la somme d'efforts fournis par son énorme vit qu'il manipulait toujours dextrement afin d'extraire toute la moelle de son pauvre membre fatigué...
Décidément, Jean devait tout faire seul ! Même se vivifier l'esprit qui battait fortement la chamade. Pourtant, sa passion reprenait toujours le dessus en bémol majeur; quel trublion mirobolant

Jean le Poète était un homme banal qui comprenait bien le Chinois. Il adorait écrire des tas d'énormités. Sa passion était toujours de détailler les limericks (was?), les haïkus que les Européens écrivent sans savoir où les emmèneront les aléas.
Libertin, imaginatif mais joueur invétéré, perdant sa fortune et sa notoriété spontanément, il avait rêvé que vivre serait fastueux comme dépenser sans honte ni retenue, pourtant il exagérait beaucoup ! Manger, s'enivrer, forniquer toute effronterie incluse mais écrire, ivresse sensuelle, abrogation de moralité et luxure omniprésente, le coeur toujours prêt d'exploser. Son ambition n'avait point de rivale et sa passion rendait impossible toute démence intellectuelle. Pourtant, souvent déçu, il entreprenait des révisions systématiques de ses abattis qu'il emmitouflait dans une espèce d'adorable pantalon gras, décousu, sans fermeture-éclair. Aujourd'hui, il n'avait point oublié la somme d'efforts fournis par son énorme vit qu'il manipulait toujours dextrement afin d'extraire toute la moelle de son pauvre membre fatigué...
Décidément, Jean devait tout faire seul ! Même se vivifier l'esprit qui battait fortement la chamade. Pourtant, sa passion reprenait toujours le dessus en bémol majeur; quel trublion mirobolant,menteur
_________________

Jean le Poète était un homme banal qui comprenait bien le Chinois. Il adorait écrire des tas d'énormités. Sa passion était toujours de détailler les limericks (was?), les haïkus que les Européens écrivent sans savoir où les emmèneront les aléas.
Libertin, imaginatif mais joueur invétéré, perdant sa fortune et sa notoriété spontanément, il avait rêvé que vivre serait fastueux comme dépenser sans honte ni retenue, pourtant il exagérait beaucoup ! Manger, s'enivrer, forniquer toute effronterie incluse mais écrire, ivresse sensuelle, abrogation de moralité et luxure omniprésente, le coeur toujours prêt d'exploser. Son ambition n'avait point de rivale et sa passion rendait impossible toute démence intellectuelle. Pourtant, souvent déçu, il entreprenait des révisions systématiques de ses abattis qu'il emmitouflait dans une espèce d'adorable pantalon gras, décousu, sans fermeture-éclair. Aujourd'hui, il n'avait point oublié la somme d'efforts fournis par son énorme vit qu'il manipulait toujours dextrement afin d'extraire toute la moelle de son pauvre membre fatigué...
Décidément, Jean devait tout faire seul ! Même se vivifier l'esprit qui battait fortement la chamade. Pourtant, sa passion reprenait toujours le dessus en bémol majeur; quel trublion mirobolant,menteur, casanier

Jean le Poète était un homme banal qui comprenait bien le Chinois. Il adorait écrire des tas d'énormités. Sa passion était toujours de détailler les limericks (was?), les haïkus que les Européens écrivent sans savoir où les emmèneront les aléas.
Libertin, imaginatif mais joueur invétéré, perdant sa fortune et sa notoriété spontanément, il avait rêvé que vivre serait fastueux comme dépenser sans honte ni retenue, pourtant il exagérait beaucoup ! Manger, s'enivrer, forniquer toute effronterie incluse mais écrire, ivresse sensuelle, abrogation de moralité et luxure omniprésente, le coeur toujours prêt d'exploser. Son ambition n'avait point de rivale et sa passion rendait impossible toute démence intellectuelle. Pourtant, souvent déçu, il entreprenait des révisions systématiques de ses abattis qu'il emmitouflait dans une espèce d'adorable pantalon gras, décousu, sans fermeture-éclair. Aujourd'hui, il n'avait point oublié la somme d'efforts fournis par son énorme vit qu'il manipulait toujours dextrement afin d'extraire toute la moelle de son pauvre membre fatigué...
Décidément, Jean devait tout faire seul ! Même se vivifier l'esprit qui battait fortement la chamade. Pourtant, sa passion reprenait toujours le dessus en bémol majeur; quel trublion mirobolant,menteur, casanier,rancunier

Jean le Poète était un homme banal qui comprenait bien le Chinois. Il adorait écrire des tas d'énormités. Sa passion était toujours de détailler les limericks (was?), les haïkus que les Européens écrivent sans savoir où les emmèneront les aléas.
Libertin, imaginatif mais joueur invétéré, perdant sa fortune et sa notoriété spontanément, il avait rêvé que vivre serait fastueux comme dépenser sans honte ni retenue, pourtant il exagérait beaucoup ! Manger, s'enivrer, forniquer toute effronterie incluse mais écrire, ivresse sensuelle, abrogation de moralité et luxure omniprésente, le coeur toujours prêt d'exploser. Son ambition n'avait point de rivale et sa passion rendait impossible toute démence intellectuelle. Pourtant, souvent déçu, il entreprenait des révisions systématiques de ses abattis qu'il emmitouflait dans une espèce d'adorable pantalon gras, décousu, sans fermeture-éclair. Aujourd'hui, il n'avait point oublié la somme d'efforts fournis par son énorme vit qu'il manipulait toujours dextrement afin d'extraire toute la moelle de son pauvre membre fatigué...
Décidément, Jean devait tout faire seul ! Même se vivifier l'esprit qui battait fortement la chamade. Pourtant, sa passion reprenait toujours le dessus en bémol majeur; Quel trublion mirobolant, menteur, casanier, rancunier, obsédé

Sujet: Cette histoire est celle de Jean le Poète Aujourd’hui à 18:59






Jean le Poète était un homme banal qui comprenait bien le Chinois. Il adorait écrire des tas d'énormités. Sa passion était toujours de détailler les limericks (was?), les haïkus que les Européens écrivent sans savoir où les emmèneront les aléas.
Libertin, imaginatif mais joueur invétéré, perdant sa fortune et sa notoriété spontanément, il avait rêvé que vivre serait fastueux comme dépenser sans honte ni retenue, pourtant il exagérait beaucoup ! Manger, s'enivrer, forniquer toute effronterie incluse mais écrire, ivresse sensuelle, abrogation de moralité et luxure omniprésente, le coeur toujours prêt d'exploser. Son ambition n'avait point de rivale et sa passion rendait impossible toute démence intellectuelle. Pourtant, souvent déçu, il entreprenait des révisions systématiques de ses abattis qu'il emmitouflait dans une espèce d'adorable pantalon gras, décousu, sans fermeture-éclair. Aujourd'hui, il n'avait point oublié la somme d'efforts fournis par son énorme vit qu'il manipulait toujours dextrement afin d'extraire toute la moelle de son pauvre membre fatigué...
Décidément, Jean devait tout faire seul ! Même se vivifier l'esprit qui battait fortement la chamade. Pourtant, sa passion reprenait toujours le dessus en bémol majeur; Quel trublion mirobolant, menteur, casanier, rancunier, obsédé par

Jean le Poète était un homme banal qui comprenait bien le Chinois. Il adorait écrire des tas d'énormités. Sa passion était toujours de détailler les limericks (was?), les haïkus que les Européens écrivent sans savoir où les emmèneront les aléas.
Libertin, imaginatif mais joueur invétéré, perdant sa fortune et sa notoriété spontanément, il avait rêvé que vivre serait fastueux comme dépenser sans honte ni retenue, pourtant il exagérait beaucoup ! Manger, s'enivrer, forniquer toute effronterie incluse mais écrire, ivresse sensuelle, abrogation de moralité et luxure omniprésente, le coeur toujours prêt d'exploser. Son ambition n'avait point de rivale et sa passion rendait impossible toute démence intellectuelle. Pourtant, souvent déçu, il entreprenait des révisions systématiques de ses abattis qu'il emmitouflait dans une espèce d'adorable pantalon gras, décousu, sans fermeture-éclair. Aujourd'hui, il n'avait point oublié la somme d'efforts fournis par son énorme vit qu'il manipulait toujours dextrement afin d'extraire toute la moelle de son pauvre membre fatigué...
Décidément, Jean devait tout faire seul ! Même se vivifier l'esprit qui battait fortement la chamade. Pourtant, sa passion reprenait toujours le dessus en bémol majeur; Quel trublion mirobolant, menteur, casanier, rancunier, obsédé par versifier

Jean le Poète était un homme banal qui comprenait bien le Chinois. Il adorait écrire des tas d'énormités. Sa passion était toujours de détailler les limericks (was?), les haïkus que les Européens écrivent sans savoir où les emmèneront les aléas.
Libertin, imaginatif mais joueur invétéré, perdant sa fortune et sa notoriété spontanément, il avait rêvé que vivre serait fastueux comme dépenser sans honte ni retenue, pourtant il exagérait beaucoup ! Manger, s'enivrer, forniquer toute effronterie incluse mais écrire, ivresse sensuelle, abrogation de moralité et luxure omniprésente, le coeur toujours prêt d'exploser. Son ambition n'avait point de rivale et sa passion rendait impossible toute démence intellectuelle. Pourtant, souvent déçu, il entreprenait des révisions systématiques de ses abattis qu'il emmitouflait dans une espèce d'adorable pantalon gras, décousu, sans fermeture-éclair. Aujourd'hui, il n'avait point oublié la somme d'efforts fournis par son énorme vit qu'il manipulait toujours dextrement afin d'extraire toute la moelle de son pauvre membre fatigué...
Décidément, Jean devait tout faire seul ! Même se vivifier l'esprit qui battait fortement la chamade. Pourtant, sa passion reprenait toujours le dessus en bémol majeur; Quel trublion mirobolant, menteur, casanier, rancunier, obsédé par versifier que

Jean le Poète était un homme banal qui comprenait bien le Chinois. Il adorait écrire des tas d'énormités. Sa passion était toujours de détailler les limericks (was?), les haïkus que les Européens écrivent sans savoir où les emmèneront les aléas.
Libertin, imaginatif mais joueur invétéré, perdant sa fortune et sa notoriété spontanément, il avait rêvé que vivre serait fastueux comme dépenser sans honte ni retenue, pourtant il exagérait beaucoup ! Manger, s'enivrer, forniquer toute effronterie incluse mais écrire, ivresse sensuelle, abrogation de moralité et luxure omniprésente, le coeur toujours prêt d'exploser. Son ambition n'avait point de rivale et sa passion rendait impossible toute démence intellectuelle. Pourtant, souvent déçu, il entreprenait des révisions systématiques de ses abattis qu'il emmitouflait dans une espèce d'adorable pantalon gras, décousu, sans fermeture-éclair. Aujourd'hui, il n'avait point oublié la somme d'efforts fournis par son énorme vit qu'il manipulait toujours dextrement afin d'extraire toute la moelle de son pauvre membre fatigué...
Décidément, Jean devait tout faire seul ! Même se vivifier l'esprit qui battait fortement la chamade. Pourtant, sa passion reprenait toujours le dessus en bémol majeur; Quel trublion mirobolant, menteur, casanier, rancunier, obsédé par versifier que seul

Jean le Poète était un homme banal qui comprenait bien le Chinois. Il adorait écrire des tas d'énormités. Sa passion était toujours de détailler les limericks (was?), les haïkus que les Européens écrivent sans savoir où les emmèneront les aléas.
Libertin, imaginatif mais joueur invétéré, perdant sa fortune et sa notoriété spontanément, il avait rêvé que vivre serait fastueux comme dépenser sans honte ni retenue, pourtant il exagérait beaucoup ! Manger, s'enivrer, forniquer toute effronterie incluse mais écrire, ivresse sensuelle, abrogation de moralité et luxure omniprésente, le coeur toujours prêt d'exploser. Son ambition n'avait point de rivale et sa passion rendait impossible toute démence intellectuelle. Pourtant, souvent déçu, il entreprenait des révisions systématiques de ses abattis qu'il emmitouflait dans une espèce d'adorable pantalon gras, décousu, sans fermeture-éclair. Aujourd'hui, il n'avait point oublié la somme d'efforts fournis par son énorme vit qu'il manipulait toujours dextrement afin d'extraire toute la moelle de son pauvre membre fatigué...
Décidément, Jean devait tout faire seul ! Même se vivifier l'esprit qui battait fortement la chamade. Pourtant, sa passion reprenait toujours le dessus en bémol majeur; Quel trublion mirobolant, menteur, casanier, rancunier, obsédé par versifier que seul possédait

Jean le Poète était un homme banal qui comprenait bien le Chinois. Il adorait écrire des tas d'énormités. Sa passion était toujours de détailler les limericks (was?), les haïkus que les Européens écrivent sans savoir où les emmèneront les aléas.
Libertin, imaginatif mais joueur invétéré, perdant sa fortune et sa notoriété spontanément, il avait rêvé que vivre serait fastueux comme dépenser sans honte ni retenue, pourtant il exagérait beaucoup ! Manger, s'enivrer, forniquer toute effronterie incluse mais écrire, ivresse sensuelle, abrogation de moralité et luxure omniprésente, le coeur toujours prêt d'exploser. Son ambition n'avait point de rivale et sa passion rendait impossible toute démence intellectuelle. Pourtant, souvent déçu, il entreprenait des révisions systématiques de ses abattis qu'il emmitouflait dans une espèce d'adorable pantalon gras, décousu, sans fermeture-éclair. Aujourd'hui, il n'avait point oublié la somme d'efforts fournis par son énorme vit qu'il manipulait toujours dextrement afin d'extraire toute la moelle de son pauvre membre fatigué...
Décidément, Jean devait tout faire seul ! Même se vivifier l'esprit qui battait fortement la chamade. Pourtant, sa passion reprenait toujours le dessus en bémol majeur; Quel trublion mirobolant, menteur, casanier, rancunier, obsédé par versifier que seul possédait son

Jean le Poète était un homme banal qui comprenait bien le Chinois. Il adorait écrire des tas d'énormités. Sa passion était toujours de détailler les limericks (was?), les haïkus que les Européens écrivent sans savoir où les emmèneront les aléas.
Libertin, imaginatif mais joueur invétéré, perdant sa fortune et sa notoriété spontanément, il avait rêvé que vivre serait fastueux comme dépenser sans honte ni retenue, pourtant il exagérait beaucoup ! Manger, s'enivrer, forniquer toute effronterie incluse mais écrire, ivresse sensuelle, abrogation de moralité et luxure omniprésente, le coeur toujours prêt d'exploser. Son ambition n'avait point de rivale et sa passion rendait impossible toute démence intellectuelle. Pourtant, souvent déçu, il entreprenait des révisions systématiques de ses abattis qu'il emmitouflait dans une espèce d'adorable pantalon gras, décousu, sans fermeture-éclair. Aujourd'hui, il n'avait point oublié la somme d'efforts fournis par son énorme vit qu'il manipulait toujours dextrement afin d'extraire toute la moelle de son pauvre membre fatigué...
Décidément, Jean devait tout faire seul ! Même se vivifier l'esprit qui battait fortement la chamade. Pourtant, sa passion reprenait toujours le dessus en bémol majeur; Quel trublion mirobolant, menteur, casanier, rancunier, obsédé par versifier que seul possédait son coeur.

Jean le Poète était un homme banal qui comprenait bien le Chinois. Il adorait écrire des tas d'énormités. Sa passion était toujours de détailler les limericks (was?), les haïkus que les Européens écrivent sans savoir où les emmèneront les aléas.
Libertin, imaginatif mais joueur invétéré, perdant sa fortune et sa notoriété spontanément, il avait rêvé que vivre serait fastueux comme dépenser sans honte ni retenue, pourtant il exagérait beaucoup ! Manger, s'enivrer, forniquer toute effronterie incluse mais écrire, ivresse sensuelle, abrogation de moralité et luxure omniprésente, le coeur toujours prêt d'exploser. Son ambition n'avait point de rivale et sa passion rendait impossible toute démence intellectuelle. Pourtant, souvent déçu, il entreprenait des révisions systématiques de ses abattis qu'il emmitouflait dans une espèce d'adorable pantalon gras, décousu, sans fermeture-éclair. Aujourd'hui, il n'avait point oublié la somme d'efforts fournis par son énorme vit qu'il manipulait toujours dextrement afin d'extraire toute la moelle de son pauvre membre fatigué...
Décidément, Jean devait tout faire seul ! Même se vivifier l'esprit qui battait fortement la chamade. Pourtant, sa passion reprenait toujours le dessus en bémol majeur; Quel trublion mirobolant, menteur, casanier, rancunier, obsédé par versifier que seul possédait son coeur oublier

Jean le Poète était un homme banal qui comprenait bien le Chinois. Il adorait écrire des tas d'énormités. Sa passion était toujours de détailler les limericks (was?), les haïkus que les Européens écrivent sans savoir où les emmèneront les aléas.
Libertin, imaginatif mais joueur invétéré, perdant sa fortune et sa notoriété spontanément, il avait rêvé que vivre serait fastueux comme dépenser sans honte ni retenue, pourtant il exagérait beaucoup ! Manger, s'enivrer, forniquer toute effronterie incluse mais écrire, ivresse sensuelle, abrogation de moralité et luxure omniprésente, le coeur toujours prêt d'exploser. Son ambition n'avait point de rivale et sa passion rendait impossible toute démence intellectuelle. Pourtant, souvent déçu, il entreprenait des révisions systématiques de ses abattis qu'il emmitouflait dans une espèce d'adorable pantalon gras, décousu, sans fermeture-éclair. Aujourd'hui, il n'avait point oublié la somme d'efforts fournis par son énorme vit qu'il manipulait toujours dextrement afin d'extraire toute la moelle de son pauvre membre fatigué...
Décidément, Jean devait tout faire seul ! Même se vivifier l'esprit qui battait fortement la chamade. Pourtant, sa passion reprenait toujours le dessus en bémol majeur; Quel trublion mirobolant, menteur, casanier, rancunier, obsédé par versifier ce que seul possédait son coeur. Oublier toutes

Jean le Poète était un homme banal qui comprenait bien le Chinois. Il adorait écrire des tas d'énormités. Sa passion était toujours de détailler les limericks (was?), les haïkus que les Européens écrivent sans savoir où les emmèneront les aléas.
Libertin, imaginatif mais joueur invétéré, perdant sa fortune et sa notoriété spontanément, il avait rêvé que vivre serait fastueux comme dépenser sans honte ni retenue, pourtant il exagérait beaucoup ! Manger, s'enivrer, forniquer toute effronterie incluse mais écrire, ivresse sensuelle, abrogation de moralité et luxure omniprésente, le coeur toujours prêt d'exploser. Son ambition n'avait point de rivale et sa passion rendait impossible toute démence intellectuelle. Pourtant, souvent déçu, il entreprenait des révisions systématiques de ses abattis qu'il emmitouflait dans une espèce d'adorable pantalon gras, décousu, sans fermeture-éclair. Aujourd'hui, il n'avait point oublié la somme d'efforts fournis par son énorme vit qu'il manipulait toujours dextrement afin d'extraire toute la moelle de son pauvre membre fatigué...
Décidément, Jean devait tout faire seul ! Même se vivifier l'esprit qui battait fortement la chamade. Pourtant, sa passion reprenait toujours le dessus en bémol majeur; Quel trublion mirobolant, menteur, casanier, rancunier, obsédé par versifier ce que seul possédait son coeur. Oublier toutes ces

Jean le Poète était un homme banal qui comprenait bien le Chinois. Il adorait écrire des tas d'énormités. Sa passion était toujours de détailler les limericks (was?), les haïkus que les Européens écrivent sans savoir où les emmèneront les aléas.
Libertin, imaginatif mais joueur invétéré, perdant sa fortune et sa notoriété spontanément, il avait rêvé que vivre serait fastueux comme dépenser sans honte ni retenue, pourtant il exagérait beaucoup ! Manger, s'enivrer, forniquer toute effronterie incluse mais écrire, ivresse sensuelle, abrogation de moralité et luxure omniprésente, le coeur toujours prêt d'exploser. Son ambition n'avait point de rivale et sa passion rendait impossible toute démence intellectuelle. Pourtant, souvent déçu, il entreprenait des révisions systématiques de ses abattis qu'il emmitouflait dans une espèce d'adorable pantalon gras, décousu, sans fermeture-éclair. Aujourd'hui, il n'avait point oublié la somme d'efforts fournis par son énorme vit qu'il manipulait toujours dextrement afin d'extraire toute la moelle de son pauvre membre fatigué...
Décidément, Jean devait tout faire seul ! Même se vivifier l'esprit qui battait fortement la chamade. Pourtant, sa passion reprenait toujours le dessus en bémol majeur; Quel trublion mirobolant, menteur, casanier, rancunier, obsédé par versifier ce que seul possédait son coeur. Oublier toutes ces niaiseries

Jean le Poète était un homme banal qui comprenait bien le Chinois. Il adorait écrire des tas d'énormités. Sa passion était toujours de détailler les limericks (was?), les haïkus que les Européens écrivent sans savoir où les emmèneront les aléas.
Libertin, imaginatif mais joueur invétéré, perdant sa fortune et sa notoriété spontanément, il avait rêvé que vivre serait fastueux comme dépenser sans honte ni retenue, pourtant il exagérait beaucoup ! Manger, s'enivrer, forniquer toute effronterie incluse mais écrire, ivresse sensuelle, abrogation de moralité et luxure omniprésente, le coeur toujours prêt d'exploser. Son ambition n'avait point de rivale et sa passion rendait impossible toute démence intellectuelle. Pourtant, souvent déçu, il entreprenait des révisions systématiques de ses abattis qu'il emmitouflait dans une espèce d'adorable pantalon gras, décousu, sans fermeture-éclair. Aujourd'hui, il n'avait point oublié la somme d'efforts fournis par son énorme vit qu'il manipulait toujours dextrement afin d'extraire toute la moelle de son pauvre membre fatigué...
Décidément, Jean devait tout faire seul ! Même se vivifier l'esprit qui battait fortement la chamade. Pourtant, sa passion reprenait toujours le dessus en bémol majeur; Quel trublion mirobolant, menteur, casanier, rancunier, obsédé par versifier ce que seul possédait son coeur. Oublier toutes ces niaiseries, stupidités
_________________

Jean le Poète était un homme banal qui comprenait bien le Chinois. Il adorait écrire des tas d'énormités. Sa passion était toujours de détailler les limericks (was?), les haïkus que les Européens écrivent sans savoir où les emmèneront les aléas.
Libertin, imaginatif mais joueur invétéré, perdant sa fortune et sa notoriété spontanément, il avait rêvé que vivre serait fastueux comme dépenser sans honte ni retenue, pourtant il exagérait beaucoup ! Manger, s'enivrer, forniquer toute effronterie incluse mais écrire, ivresse sensuelle, abrogation de moralité et luxure omniprésente, le coeur toujours prêt d'exploser. Son ambition n'avait point de rivale et sa passion rendait impossible toute démence intellectuelle. Pourtant, souvent déçu, il entreprenait des révisions systématiques de ses abattis qu'il emmitouflait dans une espèce d'adorable pantalon gras, décousu, sans fermeture-éclair. Aujourd'hui, il n'avait point oublié la somme d'efforts fournis par son énorme vit qu'il manipulait toujours dextrement afin d'extraire toute la moelle de son pauvre membre fatigué...
Décidément, Jean devait tout faire seul ! Même se vivifier l'esprit qui battait fortement la chamade. Pourtant, sa passion reprenait toujours le dessus en bémol majeur; Quel trublion mirobolant, menteur, casanier, rancunier, obsédé par versifier ce que seul possédait son coeur. Oublier toutes ces niaiseries, stupidités écrites

Jean le Poète était un homme banal qui comprenait bien le Chinois. Il adorait écrire des tas d'énormités. Sa passion était toujours de détailler les limericks (was?), les haïkus que les Européens écrivent sans savoir où les emmèneront les aléas.
Libertin, imaginatif mais joueur invétéré, perdant sa fortune et sa notoriété spontanément, il avait rêvé que vivre serait fastueux comme dépenser sans honte ni retenue, pourtant il exagérait beaucoup ! Manger, s'enivrer, forniquer toute effronterie incluse mais écrire, ivresse sensuelle, abrogation de moralité et luxure omniprésente, le coeur toujours prêt d'exploser. Son ambition n'avait point de rivale et sa passion rendait impossible toute démence intellectuelle. Pourtant, souvent déçu, il entreprenait des révisions systématiques de ses abattis qu'il emmitouflait dans une espèce d'adorable pantalon gras, décousu, sans fermeture-éclair. Aujourd'hui, il n'avait point oublié la somme d'efforts fournis par son énorme vit qu'il manipulait toujours dextrement afin d'extraire toute la moelle de son pauvre membre fatigué...
Décidément, Jean devait tout faire seul ! Même se vivifier l'esprit qui battait fortement la chamade. Pourtant, sa passion reprenait toujours le dessus en bémol majeur; Quel trublion mirobolant, menteur, casanier, rancunier, obsédé par versifier ce que seul possédait son coeur. Oublier toutes ces niaiseries, stupidités écrites, énormités

Jean le Poète était un homme banal qui comprenait bien le Chinois. Il adorait écrire des tas d'énormités. Sa passion était toujours de détailler les limericks (was?), les haïkus que les Européens écrivent sans savoir où les emmèneront les aléas.
Libertin, imaginatif mais joueur invétéré, perdant sa fortune et sa notoriété spontanément, il avait rêvé que vivre serait fastueux comme dépenser sans honte ni retenue, pourtant il exagérait beaucoup ! Manger, s'enivrer, forniquer toute effronterie incluse mais écrire, ivresse sensuelle, abrogation de moralité et luxure omniprésente, le coeur toujours prêt d'exploser. Son ambition n'avait point de rivale et sa passion rendait impossible toute démence intellectuelle. Pourtant, souvent déçu, il entreprenait des révisions systématiques de ses abattis qu'il emmitouflait dans une espèce d'adorable pantalon gras, décousu, sans fermeture-éclair. Aujourd'hui, il n'avait point oublié la somme d'efforts fournis par son énorme vit qu'il manipulait toujours dextrement afin d'extraire toute la moelle de son pauvre membre fatigué...
Décidément, Jean devait tout faire seul ! Même se vivifier l'esprit qui battait fortement la chamade. Pourtant, sa passion reprenait toujours le dessus en bémol majeur; Quel trublion mirobolant, menteur, casanier, rancunier, obsédé par versifier ce que seul possédait son coeur. Oublier toutes ces niaiseries, stupidités écrites, énormités pensées

Jean le Poète était un homme banal qui comprenait bien le Chinois. Il adorait écrire des tas d'énormités. Sa passion était toujours de détailler les limericks (was?), les haïkus que les Européens écrivent sans savoir où les emmèneront les aléas.
Libertin, imaginatif mais joueur invétéré, perdant sa fortune et sa notoriété spontanément, il avait rêvé que vivre serait fastueux comme dépenser sans honte ni retenue, pourtant il exagérait beaucoup ! Manger, s'enivrer, forniquer toute effronterie incluse mais écrire, ivresse sensuelle, abrogation de moralité et luxure omniprésente, le coeur toujours prêt d'exploser. Son ambition n'avait point de rivale et sa passion rendait impossible toute démence intellectuelle. Pourtant, souvent déçu, il entreprenait des révisions systématiques de ses abattis qu'il emmitouflait dans une espèce d'adorable pantalon gras, décousu, sans fermeture-éclair. Aujourd'hui, il n'avait point oublié la somme d'efforts fournis par son énorme vit qu'il manipulait toujours dextrement afin d'extraire toute la moelle de son pauvre membre fatigué...
Décidément, Jean devait tout faire seul ! Même se vivifier l'esprit qui battait fortement la chamade. Pourtant, sa passion reprenait toujours le dessus en bémol majeur; Quel trublion mirobolant, menteur, casanier, rancunier, obsédé par versifier ce que seul possédait son coeur. Oublier toutes ces niaiseries, stupidités écrites, énormités pensées, réactionnaires

Jean le Poète était un homme banal qui comprenait bien le Chinois. Il adorait écrire des tas d'énormités. Sa passion était toujours de détailler les limericks (was?), les haïkus que les Européens écrivent sans savoir où les emmèneront les aléas.
Libertin, imaginatif mais joueur invétéré, perdant sa fortune et sa notoriété spontanément, il avait rêvé que vivre serait fastueux comme dépenser sans honte ni retenue, pourtant il exagérait beaucoup ! Manger, s'enivrer, forniquer toute effronterie incluse mais écrire, ivresse sensuelle, abrogation de moralité et luxure omniprésente, le coeur toujours prêt d'exploser. Son ambition n'avait point de rivale et sa passion rendait impossible toute démence intellectuelle. Pourtant, souvent déçu, il entreprenait des révisions systématiques de ses abattis qu'il emmitouflait dans une espèce d'adorable pantalon gras, décousu, sans fermeture-éclair. Aujourd'hui, il n'avait point oublié la somme d'efforts fournis par son énorme vit qu'il manipulait toujours dextrement afin d'extraire toute la moelle de son pauvre membre fatigué...
Décidément, Jean devait tout faire seul ! Même se vivifier l'esprit qui battait fortement la chamade. Pourtant, sa passion reprenait toujours le dessus en bémol majeur; Quel trublion mirobolant, menteur, casanier, rancunier, obsédé par versifier ce que seul possédait son coeur. Oublier toutes ces niaiseries, stupidités écrites, énormités pensées, réactionnaires débiles

Jean le Poète était un homme banal qui comprenait bien le Chinois. Il adorait écrire des tas d'énormités. Sa passion était toujours de détailler les limericks (was?), les haïkus que les Européens écrivent sans savoir où les emmèneront les aléas.
Libertin, imaginatif mais joueur invétéré, perdant sa fortune et sa notoriété spontanément, il avait rêvé que vivre serait fastueux comme dépenser sans honte ni retenue, pourtant il exagérait beaucoup ! Manger, s'enivrer, forniquer toute effronterie incluse mais écrire, ivresse sensuelle, abrogation de moralité et luxure omniprésente, le coeur toujours prêt d'exploser. Son ambition n'avait point de rivale et sa passion rendait impossible toute démence intellectuelle. Pourtant, souvent déçu, il entreprenait des révisions systématiques de ses abattis qu'il emmitouflait dans une espèce d'adorable pantalon gras, décousu, sans fermeture-éclair. Aujourd'hui, il n'avait point oublié la somme d'efforts fournis par son énorme vit qu'il manipulait toujours dextrement afin d'extraire toute la moelle de son pauvre membre fatigué...
Décidément, Jean devait tout faire seul ! Même se vivifier l'esprit qui battait fortement la chamade. Pourtant, sa passion reprenait toujours le dessus en bémol majeur; Quel trublion mirobolant, menteur, casanier, rancunier, obsédé par versifier ce que seul possédait son coeur. Oublier toutes ces niaiseries, stupidités écrites, énormités pensées, réactionnaires débiles qui

Jean le Poète était un homme banal qui comprenait bien le Chinois. Il adorait écrire des tas d'énormités. Sa passion était toujours de détailler les limericks (was?), les haïkus que les Européens écrivent sans savoir où les emmèneront les aléas.
Libertin, imaginatif mais joueur invétéré, perdant sa fortune et sa notoriété spontanément, il avait rêvé que vivre serait fastueux comme dépenser sans honte ni retenue, pourtant il exagérait beaucoup ! Manger, s'enivrer, forniquer toute effronterie incluse mais écrire, ivresse sensuelle, abrogation de moralité et luxure omniprésente, le coeur toujours prêt d'exploser. Son ambition n'avait point de rivale et sa passion rendait impossible toute démence intellectuelle. Pourtant, souvent déçu, il entreprenait des révisions systématiques de ses abattis qu'il emmitouflait dans une espèce d'adorable pantalon gras, décousu, sans fermeture-éclair. Aujourd'hui, il n'avait point oublié la somme d'efforts fournis par son énorme vit qu'il manipulait toujours dextrement afin d'extraire toute la moelle de son pauvre membre fatigué...
Décidément, Jean devait tout faire seul ! Même se vivifier l'esprit qui battait fortement la chamade. Pourtant, sa passion reprenait toujours le dessus en bémol majeur; Quel trublion mirobolant, menteur, casanier, rancunier, obsédé par versifier ce que seul possédait son coeur. Oublier toutes ces niaiseries, stupidités écrites, énormités, pensées réactionnaires débiles qui pervertissaient

Jean le Poète était un homme banal qui comprenait bien le Chinois. Il adorait écrire des tas d'énormités. Sa passion était toujours de détailler les limericks (was?), les haïkus que les Européens écrivent sans savoir où les emmèneront les aléas.
Libertin, imaginatif mais joueur invétéré, perdant sa fortune et sa notoriété spontanément, il avait rêvé que vivre serait fastueux comme dépenser sans honte ni retenue, pourtant il exagérait beaucoup ! Manger, s'enivrer, forniquer toute effronterie incluse mais écrire, ivresse sensuelle, abrogation de moralité et luxure omniprésente, le coeur toujours prêt d'exploser. Son ambition n'avait point de rivale et sa passion rendait impossible toute démence intellectuelle. Pourtant, souvent déçu, il entreprenait des révisions systématiques de ses abattis qu'il emmitouflait dans une espèce d'adorable pantalon gras, décousu, sans fermeture-éclair. Aujourd'hui, il n'avait point oublié la somme d'efforts fournis par son énorme vit qu'il manipulait toujours dextrement afin d'extraire toute la moelle de son pauvre membre fatigué...
Décidément, Jean devait tout faire seul ! Même se vivifier l'esprit qui battait fortement la chamade. Pourtant, sa passion reprenait toujours le dessus en bémol majeur; Quel trublion mirobolant, menteur, casanier, rancunier, obsédé par versifier ce que seul possédait son coeur. Oublier toutes ces niaiseries, stupidités écrites, énormités, pensées réactionnaires débiles qui pervertissaient ses
_________________

Jean le Poète était un homme banal qui comprenait bien le Chinois. Il adorait écrire des tas d'énormités. Sa passion était toujours de détailler les limericks (was?), les haïkus que les Européens écrivent sans savoir où les emmèneront les aléas.
Libertin, imaginatif mais joueur invétéré, perdant sa fortune et sa notoriété spontanément, il avait rêvé que vivre serait fastueux comme dépenser sans honte ni retenue, pourtant il exagérait beaucoup ! Manger, s'enivrer, forniquer toute effronterie incluse mais écrire, ivresse sensuelle, abrogation de moralité et luxure omniprésente, le coeur toujours prêt d'exploser. Son ambition n'avait point de rivale et sa passion rendait impossible toute démence intellectuelle. Pourtant, souvent déçu, il entreprenait des révisions systématiques de ses abattis qu'il emmitouflait dans une espèce d'adorable pantalon gras, décousu, sans fermeture-éclair. Aujourd'hui, il n'avait point oublié la somme d'efforts fournis par son énorme vit qu'il manipulait toujours dextrement afin d'extraire toute la moelle de son pauvre membre fatigué...
Décidément, Jean devait tout faire seul ! Même se vivifier l'esprit qui battait fortement la chamade. Pourtant, sa passion reprenait toujours le dessus en bémol majeur; Quel trublion mirobolant, menteur, casanier, rancunier, obsédé par versifier ce que seul possédait son coeur. Oublier toutes ces niaiseries, stupidités écrites, énormités, pensées réactionnaires débiles qui pervertissaient ses oeuvres

Jean le Poète était un homme banal qui comprenait bien le Chinois. Il adorait écrire des tas d'énormités. Sa passion était toujours de détailler les limericks (was?), les haïkus que les Européens écrivent sans savoir où les emmèneront les aléas.
Libertin, imaginatif mais joueur invétéré, perdant sa fortune et sa notoriété spontanément, il avait rêvé que vivre serait fastueux comme dépenser sans honte ni retenue, pourtant il exagérait beaucoup ! Manger, s'enivrer, forniquer toute effronterie incluse mais écrire, ivresse sensuelle, abrogation de moralité et luxure omniprésente, le coeur toujours prêt d'exploser. Son ambition n'avait point de rivale et sa passion rendait impossible toute démence intellectuelle. Pourtant, souvent déçu, il entreprenait des révisions systématiques de ses abattis qu'il emmitouflait dans une espèce d'adorable pantalon gras, décousu, sans fermeture-éclair. Aujourd'hui, il n'avait point oublié la somme d'efforts fournis par son énorme vit qu'il manipulait toujours dextrement afin d'extraire toute la moelle de son pauvre membre fatigué...
Décidément, Jean devait tout faire seul ! Même se vivifier l'esprit qui battait fortement la chamade. Pourtant, sa passion reprenait toujours le dessus en bémol majeur; Quel trublion mirobolant, menteur, casanier, rancunier, obsédé par versifier ce que seul possédait son coeur. Oublier toutes ces niaiseries, stupidités écrites, énormités, pensées réactionnaires débiles qui pervertissaient ses oeuvres.
Il

Jean le Poète était un homme banal qui comprenait bien le Chinois. Il adorait écrire des tas d'énormités. Sa passion était toujours de détailler les limericks (was?), les haïkus que les Européens écrivent sans savoir où les emmèneront les aléas.
Libertin, imaginatif mais joueur invétéré, perdant sa fortune et sa notoriété spontanément, il avait rêvé que vivre serait fastueux comme dépenser sans honte ni retenue, pourtant il exagérait beaucoup ! Manger, s'enivrer, forniquer toute effronterie incluse mais écrire, ivresse sensuelle, abrogation de moralité et luxure omniprésente, le coeur toujours prêt d'exploser. Son ambition n'avait point de rivale et sa passion rendait impossible toute démence intellectuelle. Pourtant, souvent déçu, il entreprenait des révisions systématiques de ses abattis qu'il emmitouflait dans une espèce d'adorable pantalon gras, décousu, sans fermeture-éclair. Aujourd'hui, il n'avait point oublié la somme d'efforts fournis par son énorme vit qu'il manipulait toujours dextrement afin d'extraire toute la moelle de son pauvre membre fatigué...
Décidément, Jean devait tout faire seul ! Même se vivifier l'esprit qui battait fortement la chamade. Pourtant, sa passion reprenait toujours le dessus en bémol majeur; Quel trublion mirobolant, menteur, casanier, rancunier, obsédé par versifier ce que seul possédait son coeur. Oublier toutes ces niaiseries, stupidités écrites, énormités, pensées réactionnaires débiles qui pervertissaient ses oeuvres.
Il préférait

Jean le Poète était un homme banal qui comprenait bien le Chinois. Il adorait écrire des tas d'énormités. Sa passion était toujours de détailler les limericks (was?), les haïkus que les Européens écrivent sans savoir où les emmèneront les aléas.
Libertin, imaginatif mais joueur invétéré, perdant sa fortune et sa notoriété spontanément, il avait rêvé que vivre serait fastueux comme dépenser sans honte ni retenue, pourtant il exagérait beaucoup ! Manger, s'enivrer, forniquer toute effronterie incluse mais écrire, ivresse sensuelle, abrogation de moralité et luxure omniprésente, le coeur toujours prêt d'exploser. Son ambition n'avait point de rivale et sa passion rendait impossible toute démence intellectuelle. Pourtant, souvent déçu, il entreprenait des révisions systématiques de ses abattis qu'il emmitouflait dans une espèce d'adorable pantalon gras, décousu, sans fermeture-éclair. Aujourd'hui, il n'avait point oublié la somme d'efforts fournis par son énorme vit qu'il manipulait toujours dextrement afin d'extraire toute la moelle de son pauvre membre fatigué...
Décidément, Jean devait tout faire seul ! Même se vivifier l'esprit qui battait fortement la chamade. Pourtant, sa passion reprenait toujours le dessus en bémol majeur; Quel trublion mirobolant, menteur, casanier, rancunier, obsédé par versifier ce que seul possédait son coeur. Oublier toutes ces niaiseries, stupidités écrites, énormités, pensées réactionnaires débiles qui pervertissaient ses oeuvres.
Il préférait dormir

Jean le Poète était un homme banal qui comprenait bien le Chinois. Il adorait écrire des tas d'énormités. Sa passion était toujours de détailler les limericks (was?), les haïkus que les Européens écrivent sans savoir où les emmèneront les aléas.
Libertin, imaginatif mais joueur invétéré, perdant sa fortune et sa notoriété spontanément, il avait rêvé que vivre serait fastueux comme dépenser sans honte ni retenue, pourtant il exagérait beaucoup ! Manger, s'enivrer, forniquer toute effronterie incluse mais écrire, ivresse sensuelle, abrogation de moralité et luxure omniprésente, le coeur toujours prêt d'exploser. Son ambition n'avait point de rivale et sa passion rendait impossible toute démence intellectuelle. Pourtant, souvent déçu, il entreprenait des révisions systématiques de ses abattis qu'il emmitouflait dans une espèce d'adorable pantalon gras, décousu, sans fermeture-éclair. Aujourd'hui, il n'avait point oublié la somme d'efforts fournis par son énorme vit qu'il manipulait toujours dextrement afin d'extraire toute la moelle de son pauvre membre fatigué...
Décidément, Jean devait tout faire seul ! Même se vivifier l'esprit qui battait fortement la chamade. Pourtant, sa passion reprenait toujours le dessus en bémol majeur; Quel trublion mirobolant, menteur, casanier, rancunier, obsédé par versifier ce que seul possédait son coeur. Oublier toutes ces niaiseries, stupidités écrites, énormités, pensées réactionnaires débiles qui pervertissaient ses oeuvres.
Il préférait dormir, rêvant

Jean le Poète était un homme banal qui comprenait bien le Chinois. Il adorait écrire des tas d'énormités. Sa passion était toujours de détailler les limericks (was?), les haïkus que les Européens écrivent sans savoir où les emmèneront les aléas.
Libertin, imaginatif mais joueur invétéré, perdant sa fortune et sa notoriété spontanément, il avait rêvé que vivre serait fastueux comme dépenser sans honte ni retenue, pourtant il exagérait beaucoup ! Manger, s'enivrer, forniquer toute effronterie incluse mais écrire, ivresse sensuelle, abrogation de moralité et luxure omniprésente, le coeur toujours prêt d'exploser. Son ambition n'avait point de rivale et sa passion rendait impossible toute démence intellectuelle. Pourtant, souvent déçu, il entreprenait des révisions systématiques de ses abattis qu'il emmitouflait dans une espèce d'adorable pantalon gras, décousu, sans fermeture-éclair. Aujourd'hui, il n'avait point oublié la somme d'efforts fournis par son énorme vit qu'il manipulait toujours dextrement afin d'extraire toute la moelle de son pauvre membre fatigué...
Décidément, Jean devait tout faire seul ! Même se vivifier l'esprit qui battait fortement la chamade. Pourtant, sa passion reprenait toujours le dessus en bémol majeur; Quel trublion mirobolant, menteur, casanier, rancunier, obsédé par versifier ce que seul possédait son coeur. Oublier toutes ces niaiseries, stupidités écrites, énormités, pensées réactionnaires débiles qui pervertissaient ses oeuvres.
Il préférait dormir, rêvant en

Jean le Poète était un homme banal qui comprenait bien le Chinois. Il adorait écrire des tas d'énormités. Sa passion était toujours de détailler les limericks (was?), les haïkus que les Européens écrivent sans savoir où les emmèneront les aléas.
Libertin, imaginatif mais joueur invétéré, perdant sa fortune et sa notoriété spontanément, il avait rêvé que vivre serait fastueux comme dépenser sans honte ni retenue, pourtant il exagérait beaucoup ! Manger, s'enivrer, forniquer toute effronterie incluse mais écrire, ivresse sensuelle, abrogation de moralité et luxure omniprésente, le coeur toujours prêt d'exploser. Son ambition n'avait point de rivale et sa passion rendait impossible toute démence intellectuelle. Pourtant, souvent déçu, il entreprenait des révisions systématiques de ses abattis qu'il emmitouflait dans une espèce d'adorable pantalon gras, décousu, sans fermeture-éclair. Aujourd'hui, il n'avait point oublié la somme d'efforts fournis par son énorme vit qu'il manipulait toujours dextrement afin d'extraire toute la moelle de son pauvre membre fatigué...
Décidément, Jean devait tout faire seul ! Même se vivifier l'esprit qui battait fortement la chamade. Pourtant, sa passion reprenait toujours le dessus en bémol majeur; Quel trublion mirobolant, menteur, casanier, rancunier, obsédé par versifier ce que seul possédait son coeur. Oublier toutes ces niaiseries, stupidités écrites, énormités, pensées réactionnaires débiles qui pervertissaient ses oeuvres.
Il préférait dormir, rêvant en poète

Jean le Poète était un homme banal qui comprenait bien le Chinois. Il adorait écrire des tas d'énormités. Sa passion était toujours de détailler les limericks (was?), les haïkus que les Européens écrivent sans savoir où les emmèneront les aléas.
Libertin, imaginatif mais joueur invétéré, perdant sa fortune et sa notoriété spontanément, il avait rêvé que vivre serait fastueux comme dépenser sans honte ni retenue, pourtant il exagérait beaucoup ! Manger, s'enivrer, forniquer toute effronterie incluse mais écrire, ivresse sensuelle, abrogation de moralité et luxure omniprésente, le coeur toujours prêt d'exploser. Son ambition n'avait point de rivale et sa passion rendait impossible toute démence intellectuelle. Pourtant, souvent déçu, il entreprenait des révisions systématiques de ses abattis qu'il emmitouflait dans une espèce d'adorable pantalon gras, décousu, sans fermeture-éclair. Aujourd'hui, il n'avait point oublié la somme d'efforts fournis par son énorme vit qu'il manipulait toujours dextrement afin d'extraire toute la moelle de son pauvre membre fatigué...
Décidément, Jean devait tout faire seul ! Même se vivifier l'esprit qui battait fortement la chamade. Pourtant, sa passion reprenait toujours le dessus en bémol majeur; Quel trublion mirobolant, menteur, casanier, rancunier, obsédé par versifier ce que seul possédait son coeur. Oublier toutes ces niaiseries, stupidités écrites, énormités, pensées réactionnaires débiles qui pervertissaient ses oeuvres.
Il préférait dormir, rêvant en poète attardé

Jean le Poète était un homme banal qui comprenait bien le Chinois. Il adorait écrire des tas d'énormités. Sa passion était toujours de détailler les limericks (was?), les haïkus que les Européens écrivent sans savoir où les emmèneront les aléas.
Libertin, imaginatif mais joueur invétéré, perdant sa fortune et sa notoriété spontanément, il avait rêvé que vivre serait fastueux comme dépenser sans honte ni retenue, pourtant il exagérait beaucoup ! Manger, s'enivrer, forniquer toute effronterie incluse mais écrire, ivresse sensuelle, abrogation de moralité et luxure omniprésente, le coeur toujours prêt d'exploser. Son ambition n'avait point de rivale et sa passion rendait impossible toute démence intellectuelle. Pourtant, souvent déçu, il entreprenait des révisions systématiques de ses abattis qu'il emmitouflait dans une espèce d'adorable pantalon gras, décousu, sans fermeture-éclair. Aujourd'hui, il n'avait point oublié la somme d'efforts fournis par son énorme vit qu'il manipulait toujours dextrement afin d'extraire toute la moelle de son pauvre membre fatigué...
Décidément, Jean devait tout faire seul ! Même se vivifier l'esprit qui battait fortement la chamade. Pourtant, sa passion reprenait toujours le dessus en bémol majeur; Quel trublion mirobolant, menteur, casanier, rancunier, obsédé par versifier ce que seul possédait son coeur. Oublier toutes ces niaiseries, stupidités écrites, énormités, pensées réactionnaires débiles qui pervertissaient ses oeuvres.
Il préférait dormir, rêvant en poète attardé qu'il

Jean le Poète était un homme banal qui comprenait bien le Chinois. Il adorait écrire des tas d'énormités. Sa passion était toujours de détailler les limericks (was?), les haïkus que les Européens écrivent sans savoir où les emmèneront les aléas.
Libertin, imaginatif mais joueur invétéré, perdant sa fortune et sa notoriété spontanément, il avait rêvé que vivre serait fastueux comme dépenser sans honte ni retenue, pourtant il exagérait beaucoup ! Manger, s'enivrer, forniquer toute effronterie incluse mais écrire, ivresse sensuelle, abrogation de moralité et luxure omniprésente, le coeur toujours prêt d'exploser. Son ambition n'avait point de rivale et sa passion rendait impossible toute démence intellectuelle. Pourtant, souvent déçu, il entreprenait des révisions systématiques de ses abattis qu'il emmitouflait dans une espèce d'adorable pantalon gras, décousu, sans fermeture-éclair. Aujourd'hui, il n'avait point oublié la somme d'efforts fournis par son énorme vit qu'il manipulait toujours dextrement afin d'extraire toute la moelle de son pauvre membre fatigué...
Décidément, Jean devait tout faire seul ! Même se vivifier l'esprit qui battait fortement la chamade. Pourtant, sa passion reprenait toujours le dessus en bémol majeur; Quel trublion mirobolant, menteur, casanier, rancunier, obsédé par versifier ce que seul possédait son coeur. Oublier toutes ces niaiseries, stupidités écrites, énormités, pensées réactionnaires débiles qui pervertissaient ses oeuvres.
Il préférait dormir, rêvant en poète attardé qu'il voulait

Jean le Poète était un homme banal qui comprenait bien le Chinois. Il adorait écrire des tas d'énormités. Sa passion était toujours de détailler les limericks (was?), les haïkus que les Européens écrivent sans savoir où les emmèneront les aléas.
Libertin, imaginatif mais joueur invétéré, perdant sa fortune et sa notoriété spontanément, il avait rêvé que vivre serait fastueux comme dépenser sans honte ni retenue, pourtant il exagérait beaucoup ! Manger, s'enivrer, forniquer toute effronterie incluse mais écrire, ivresse sensuelle, abrogation de moralité et luxure omniprésente, le coeur toujours prêt d'exploser. Son ambition n'avait point de rivale et sa passion rendait impossible toute démence intellectuelle. Pourtant, souvent déçu, il entreprenait des révisions systématiques de ses abattis qu'il emmitouflait dans une espèce d'adorable pantalon gras, décousu, sans fermeture-éclair. Aujourd'hui, il n'avait point oublié la somme d'efforts fournis par son énorme vit qu'il manipulait toujours dextrement afin d'extraire toute la moelle de son pauvre membre fatigué...
Décidément, Jean devait tout faire seul ! Même se vivifier l'esprit qui battait fortement la chamade. Pourtant, sa passion reprenait toujours le dessus en bémol majeur; Quel trublion mirobolant, menteur, casanier, rancunier, obsédé par versifier ce que seul possédait son coeur. Oublier toutes ces niaiseries, stupidités écrites, énormités, pensées réactionnaires débiles qui pervertissaient ses oeuvres.
Il préférait dormir, rêvant en poète attardé, qu'il voulait glorifier

Jean le Poète était un homme banal qui comprenait bien le Chinois. Il adorait écrire des tas d'énormités. Sa passion était toujours de détailler les limericks (was?), les haïkus que les Européens écrivent sans savoir où les emmèneront les aléas.
Libertin, imaginatif mais joueur invétéré, perdant sa fortune et sa notoriété spontanément, il avait rêvé que vivre serait fastueux comme dépenser sans honte ni retenue, pourtant il exagérait beaucoup ! Manger, s'enivrer, forniquer toute effronterie incluse mais écrire, ivresse sensuelle, abrogation de moralité et luxure omniprésente, le coeur toujours prêt d'exploser. Son ambition n'avait point de rivale et sa passion rendait impossible toute démence intellectuelle. Pourtant, souvent déçu, il entreprenait des révisions systématiques de ses abattis qu'il emmitouflait dans une espèce d'adorable pantalon gras, décousu, sans fermeture-éclair. Aujourd'hui, il n'avait point oublié la somme d'efforts fournis par son énorme vit qu'il manipulait toujours dextrement afin d'extraire toute la moelle de son pauvre membre fatigué...
Décidément, Jean devait tout faire seul ! Même se vivifier l'esprit qui battait fortement la chamade. Pourtant, sa passion reprenait toujours le dessus en bémol majeur; Quel trublion mirobolant, menteur, casanier, rancunier, obsédé par versifier ce que seul possédait son coeur. Oublier toutes ces niaiseries, stupidités écrites, énormités, pensées réactionnaires débiles qui pervertissaient ses oeuvres.
Il préférait dormir, rêvant en poète attardé, qu'il voulait glorifier
tardivement,

Jean le Poète était un homme banal qui comprenait bien le Chinois. Il adorait écrire des tas d'énormités. Sa passion était toujours de détailler les limericks (was?), les haïkus que les Européens écrivent sans savoir où les emmèneront les aléas.
Libertin, imaginatif mais joueur invétéré, perdant sa fortune et sa notoriété spontanément, il avait rêvé que vivre serait fastueux comme dépenser sans honte ni retenue, pourtant il exagérait beaucoup ! Manger, s'enivrer, forniquer toute effronterie incluse mais écrire, ivresse sensuelle, abrogation de moralité et luxure omniprésente, le coeur toujours prêt d'exploser. Son ambition n'avait point de rivale et sa passion rendait impossible toute démence intellectuelle. Pourtant, souvent déçu, il entreprenait des révisions systématiques de ses abattis qu'il emmitouflait dans une espèce d'adorable pantalon gras, décousu, sans fermeture-éclair. Aujourd'hui, il n'avait point oublié la somme d'efforts fournis par son énorme vit qu'il manipulait toujours dextrement afin d'extraire toute la moelle de son pauvre membre fatigué...
Décidément, Jean devait tout faire seul ! Même se vivifier l'esprit qui battait fortement la chamade. Pourtant, sa passion reprenait toujours le dessus en bémol majeur; Quel trublion mirobolant, menteur, casanier, rancunier, obsédé par versifier ce que seul possédait son coeur. Oublier toutes ces niaiseries, stupidités écrites, énormités, pensées réactionnaires débiles qui pervertissaient ses oeuvres.
Il préférait dormir, rêvant en poète attardé, qu'il voulait glorifier
tardivement, les

Jean le Poète était un homme banal qui comprenait bien le Chinois. Il adorait écrire des tas d'énormités. Sa passion était toujours de détailler les limericks (was?), les haïkus que les Européens écrivent sans savoir où les emmèneront les aléas.
Libertin, imaginatif mais joueur invétéré, perdant sa fortune et sa notoriété spontanément, il avait rêvé que vivre serait fastueux comme dépenser sans honte ni retenue, pourtant il exagérait beaucoup ! Manger, s'enivrer, forniquer toute effronterie incluse mais écrire, ivresse sensuelle, abrogation de moralité et luxure omniprésente, le coeur toujours prêt d'exploser. Son ambition n'avait point de rivale et sa passion rendait impossible toute démence intellectuelle. Pourtant, souvent déçu, il entreprenait des révisions systématiques de ses abattis qu'il emmitouflait dans une espèce d'adorable pantalon gras, décousu, sans fermeture-éclair. Aujourd'hui, il n'avait point oublié la somme d'efforts fournis par son énorme vit qu'il manipulait toujours dextrement afin d'extraire toute la moelle de son pauvre membre fatigué...
Décidément, Jean devait tout faire seul ! Même se vivifier l'esprit qui battait fortement la chamade. Pourtant, sa passion reprenait toujours le dessus en bémol majeur; Quel trublion mirobolant, menteur, casanier, rancunier, obsédé par versifier ce que seul possédait son coeur. Oublier toutes ces niaiseries, stupidités écrites, énormités, pensées réactionnaires débiles qui pervertissaient ses oeuvres.
Il préférait dormir, rêvant en poète attardé, qu'il voulait glorifier tardivement, les oeuvres

Jean le Poète était un homme banal qui comprenait bien le Chinois. Il adorait écrire des tas d'énormités. Sa passion était toujours de détailler les limericks (was?), les haïkus que les Européens écrivent sans savoir où les emmèneront les aléas.
Libertin, imaginatif mais joueur invétéré, perdant sa fortune et sa notoriété spontanément, il avait rêvé que vivre serait fastueux comme dépenser sans honte ni retenue, pourtant il exagérait beaucoup ! Manger, s'enivrer, forniquer toute effronterie incluse mais écrire, ivresse sensuelle, abrogation de moralité et luxure omniprésente, le coeur toujours prêt d'exploser. Son ambition n'avait point de rivale et sa passion rendait impossible toute démence intellectuelle. Pourtant, souvent déçu, il entreprenait des révisions systématiques de ses abattis qu'il emmitouflait dans une espèce d'adorable pantalon gras, décousu, sans fermeture-éclair. Aujourd'hui, il n'avait point oublié la somme d'efforts fournis par son énorme vit qu'il manipulait toujours dextrement afin d'extraire toute la moelle de son pauvre membre fatigué...
Décidément, Jean devait tout faire seul ! Même se vivifier l'esprit qui battait fortement la chamade. Pourtant, sa passion reprenait toujours le dessus en bémol majeur; Quel trublion mirobolant, menteur, casanier, rancunier, obsédé par versifier ce que seul possédait son coeur. Oublier toutes ces niaiseries, stupidités écrites, énormités, pensées réactionnaires débiles qui pervertissaient ses oeuvres.
Il préférait dormir, rêvant en poète attardé, qu'il voulait glorifier tardivement, les oeuvres exacerbées

Jean le Poète était un homme banal qui comprenait bien le Chinois. Il adorait écrire des tas d'énormités. Sa passion était toujours de détailler les limericks (was?), les haïkus que les Européens écrivent sans savoir où les emmèneront les aléas.
Libertin, imaginatif mais joueur invétéré, perdant sa fortune et sa notoriété spontanément, il avait rêvé que vivre serait fastueux comme dépenser sans honte ni retenue, pourtant il exagérait beaucoup ! Manger, s'enivrer, forniquer toute effronterie incluse mais écrire, ivresse sensuelle, abrogation de moralité et luxure omniprésente, le coeur toujours prêt d'exploser. Son ambition n'avait point de rivale et sa passion rendait impossible toute démence intellectuelle. Pourtant, souvent déçu, il entreprenait des révisions systématiques de ses abattis qu'il emmitouflait dans une espèce d'adorable pantalon gras, décousu, sans fermeture-éclair. Aujourd'hui, il n'avait point oublié la somme d'efforts fournis par son énorme vit qu'il manipulait toujours dextrement afin d'extraire toute la moelle de son pauvre membre fatigué...
Décidément, Jean devait tout faire seul ! Même se vivifier l'esprit qui battait fortement la chamade. Pourtant, sa passion reprenait toujours le dessus en bémol majeur; Quel trublion mirobolant, menteur, casanier, rancunier, obsédé par versifier ce que seul possédait son coeur. Oublier toutes ces niaiseries, stupidités écrites, énormités, pensées réactionnaires débiles qui pervertissaient ses oeuvres.
Il préférait dormir, rêvant en poète attardé, qu'il voulait glorifier tardivement, les oeuvres exacerbées d'orgasmes

Jean le Poète était un homme banal qui comprenait bien le Chinois. Il adorait écrire des tas d'énormités. Sa passion était toujours de détailler les limericks (was?), les haïkus que les Européens écrivent sans savoir où les emmèneront les aléas.
Libertin, imaginatif mais joueur invétéré, perdant sa fortune et sa notoriété spontanément, il avait rêvé que vivre serait fastueux comme dépenser sans honte ni retenue, pourtant il exagérait beaucoup ! Manger, s'enivrer, forniquer toute effronterie incluse mais écrire, ivresse sensuelle, abrogation de moralité et luxure omniprésente, le coeur toujours prêt d'exploser. Son ambition n'avait point de rivale et sa passion rendait impossible toute démence intellectuelle. Pourtant, souvent déçu, il entreprenait des révisions systématiques de ses abattis qu'il emmitouflait dans une espèce d'adorable pantalon gras, décousu, sans fermeture-éclair. Aujourd'hui, il n'avait point oublié la somme d'efforts fournis par son énorme vit qu'il manipulait toujours dextrement afin d'extraire toute la moelle de son pauvre membre fatigué...
Décidément, Jean devait tout faire seul ! Même se vivifier l'esprit qui battait fortement la chamade. Pourtant, sa passion reprenait toujours le dessus en bémol majeur; Quel trublion mirobolant, menteur, casanier, rancunier, obsédé par versifier ce que seul possédait son coeur. Oublier toutes ces niaiseries, stupidités écrites, énormités, pensées réactionnaires débiles qui pervertissaient ses oeuvres.
Il préférait dormir, rêvant en poète attardé, qu'il voulait glorifier tardivement, les oeuvres exacerbées d'orgasmes vivifiants

Jean le Poète était un homme banal qui comprenait bien le Chinois. Il adorait écrire des tas d'énormités. Sa passion était toujours de détailler les limericks (was?), les haïkus que les Européens écrivent sans savoir où les emmèneront les aléas.
Libertin, imaginatif mais joueur invétéré, perdant sa fortune et sa notoriété spontanément, il avait rêvé que vivre serait fastueux comme dépenser sans honte ni retenue, pourtant il exagérait beaucoup ! Manger, s'enivrer, forniquer toute effronterie incluse mais écrire, ivresse sensuelle, abrogation de moralité et luxure omniprésente, le coeur toujours prêt d'exploser. Son ambition n'avait point de rivale et sa passion rendait impossible toute démence intellectuelle. Pourtant, souvent déçu, il entreprenait des révisions systématiques de ses abattis qu'il emmitouflait dans une espèce d'adorable pantalon gras, décousu, sans fermeture-éclair. Aujourd'hui, il n'avait point oublié la somme d'efforts fournis par son énorme vit qu'il manipulait toujours dextrement afin d'extraire toute la moelle de son pauvre membre fatigué...
Décidément, Jean devait tout faire seul ! Même se vivifier l'esprit qui battait fortement la chamade. Pourtant, sa passion reprenait toujours le dessus en bémol majeur; Quel trublion mirobolant, menteur, casanier, rancunier, obsédé par versifier ce que seul possédait son coeur. Oublier toutes ces niaiseries, stupidités écrites, énormités, pensées réactionnaires débiles qui pervertissaient ses oeuvres.
Il préférait dormir, rêvant en poète attardé, qu'il voulait glorifier tardivement, les oeuvres exacerbées d'orgasmes vivifiants et revigorants

Jean le Poète était un homme banal qui comprenait bien le Chinois. Il adorait écrire des tas d'énormités. Sa passion était toujours de détailler les limericks (was?), les haïkus que les Européens écrivent sans savoir où les emmèneront les aléas.
Libertin, imaginatif mais joueur invétéré, perdant sa fortune et sa notoriété spontanément, il avait rêvé que vivre serait fastueux comme dépenser sans honte ni retenue, pourtant il exagérait beaucoup ! Manger, s'enivrer, forniquer toute effronterie incluse mais écrire, ivresse sensuelle, abrogation de moralité et luxure omniprésente, le coeur toujours prêt d'exploser. Son ambition n'avait point de rivale et sa passion rendait impossible toute démence intellectuelle. Pourtant, souvent déçu, il entreprenait des révisions systématiques de ses abattis qu'il emmitouflait dans une espèce d'adorable pantalon gras, décousu, sans fermeture-éclair. Aujourd'hui, il n'avait point oublié la somme d'efforts fournis par son énorme vit qu'il manipulait toujours dextrement afin d'extraire toute la moelle de son pauvre membre fatigué...
Décidément, Jean devait tout faire seul ! Même se vivifier l'esprit qui battait fortement la chamade. Pourtant, sa passion reprenait toujours le dessus en bémol majeur; Quel trublion mirobolant, menteur, casanier, rancunier, obsédé par versifier ce que seul possédait son coeur. Oublier toutes ces niaiseries, stupidités écrites, énormités, pensées réactionnaires débiles qui pervertissaient ses oeuvres.
Il préférait dormir, rêvant en poète attardé, qu'il voulait glorifier tardivement, les oeuvres exacerbées d'orgasmes vivifiants et revigorants. Un

Jean le Poète était un homme banal qui comprenait bien le Chinois. Il adorait écrire des tas d'énormités. Sa passion était toujours de détailler les limericks (was?), les haïkus que les Européens écrivent sans savoir où les emmèneront les aléas.
Libertin, imaginatif mais joueur invétéré, perdant sa fortune et sa notoriété spontanément, il avait rêvé que vivre serait fastueux comme dépenser sans honte ni retenue, pourtant il exagérait beaucoup ! Manger, s'enivrer, forniquer toute effronterie incluse mais écrire, ivresse sensuelle, abrogation de moralité et luxure omniprésente, le coeur toujours prêt d'exploser. Son ambition n'avait point de rivale et sa passion rendait impossible toute démence intellectuelle. Pourtant, souvent déçu, il entreprenait des révisions systématiques de ses abattis qu'il emmitouflait dans une espèce d'adorable pantalon gras, décousu, sans fermeture-éclair. Aujourd'hui, il n'avait point oublié la somme d'efforts fournis par son énorme vit qu'il manipulait toujours dextrement afin d'extraire toute la moelle de son pauvre membre fatigué...
Décidément, Jean devait tout faire seul ! Même se vivifier l'esprit qui battait fortement la chamade. Pourtant, sa passion reprenait toujours le dessus en bémol majeur; Quel trublion mirobolant, menteur, casanier, rancunier, obsédé par versifier ce que seul possédait son coeur. Oublier toutes ces niaiseries, stupidités écrites, énormités, pensées réactionnaires débiles qui pervertissaient ses oeuvres.
Il préférait dormir, rêvant en poète attardé, qu'il voulait glorifier tardivement, les oeuvres exacerbées d'orgasmes vivifiants et revigorants. Un matin

[Jean le Poète était un homme banal qui comprenait bien le Chinois. Il adorait écrire des tas d'énormités. Sa passion était toujours de détailler les limericks (was?), les haïkus que les Européens écrivent sans savoir où les emmèneront les aléas.
Libertin, imaginatif mais joueur invétéré, perdant sa fortune et sa notoriété spontanément, il avait rêvé que vivre serait fastueux comme dépenser sans honte ni retenue, pourtant il exagérait beaucoup ! Manger, s'enivrer, forniquer toute effronterie incluse mais écrire, ivresse sensuelle, abrogation de moralité et luxure omniprésente, le coeur toujours prêt d'exploser. Son ambition n'avait point de rivale et sa passion rendait impossible toute démence intellectuelle. Pourtant, souvent déçu, il entreprenait des révisions systématiques de ses abattis qu'il emmitouflait dans une espèce d'adorable pantalon gras, décousu, sans fermeture-éclair. Aujourd'hui, il n'avait point oublié la somme d'efforts fournis par son énorme vit qu'il manipulait toujours dextrement afin d'extraire toute la moelle de son pauvre membre fatigué...
Décidément, Jean devait tout faire seul ! Même se vivifier l'esprit qui battait fortement la chamade. Pourtant, sa passion reprenait toujours le dessus en bémol majeur; Quel trublion mirobolant, menteur, casanier, rancunier, obsédé par versifier ce que seul possédait son coeur. Oublier toutes ces niaiseries, stupidités écrites, énormités, pensées réactionnaires débiles qui pervertissaient ses oeuvres.
Il préférait dormir, rêvant en poète attardé, qu'il voulait glorifier tardivement, les oeuvres exacerbées d'orgasmes vivifiants et revigorants. Un matin saoulé


_________________

[Jean le Poète était un homme banal qui comprenait bien le Chinois. Il adorait écrire des tas d'énormités. Sa passion était toujours de détailler les limericks (was?), les haïkus que les Européens écrivent sans savoir où les emmèneront les aléas.
Libertin, imaginatif mais joueur invétéré, perdant sa fortune et sa notoriété spontanément, il avait rêvé que vivre serait fastueux comme dépenser sans honte ni retenue, pourtant il exagérait beaucoup ! Manger, s'enivrer, forniquer toute effronterie incluse mais écrire, ivresse sensuelle, abrogation de moralité et luxure omniprésente, le coeur toujours prêt d'exploser. Son ambition n'avait point de rivale et sa passion rendait impossible toute démence intellectuelle. Pourtant, souvent déçu, il entreprenait des révisions systématiques de ses abattis qu'il emmitouflait dans une espèce d'adorable pantalon gras, décousu, sans fermeture-éclair. Aujourd'hui, il n'avait point oublié la somme d'efforts fournis par son énorme vit qu'il manipulait toujours dextrement afin d'extraire toute la moelle de son pauvre membre fatigué...
Décidément, Jean devait tout faire seul ! Même se vivifier l'esprit qui battait fortement la chamade. Pourtant, sa passion reprenait toujours le dessus en bémol majeur; Quel trublion mirobolant, menteur, casanier, rancunier, obsédé par versifier ce que seul possédait son coeur. Oublier toutes ces niaiseries, stupidités écrites, énormités, pensées réactionnaires débiles qui pervertissaient ses oeuvres.
Il préférait dormir, rêvant en poète attardé, qu'il voulait glorifier tardivement, les oeuvres exacerbées d'orgasmes vivifiants et revigorants. Un matin saoulé d'amertume

Jean le Poète était un homme banal qui comprenait bien le Chinois. Il adorait écrire des tas d'énormités. Sa passion était toujours de détailler les limericks (was?), les haïkus que les Européens écrivent sans savoir où les emmèneront les aléas.
Libertin, imaginatif mais joueur invétéré, perdant sa fortune et sa notoriété spontanément, il avait rêvé que vivre serait fastueux comme dépenser sans honte ni retenue, pourtant il exagérait beaucoup ! Manger, s'enivrer, forniquer toute effronterie incluse mais écrire, ivresse sensuelle, abrogation de moralité et luxure omniprésente, le coeur toujours prêt d'exploser. Son ambition n'avait point de rivale et sa passion rendait impossible toute démence intellectuelle. Pourtant, souvent déçu, il entreprenait des révisions systématiques de ses abattis qu'il emmitouflait dans une espèce d'adorable pantalon gras, décousu, sans fermeture-éclair. Aujourd'hui, il n'avait point oublié la somme d'efforts fournis par son énorme vit qu'il manipulait toujours dextrement afin d'extraire toute la moelle de son pauvre membre fatigué...
Décidément, Jean devait tout faire seul ! Même se vivifier l'esprit qui battait fortement la chamade. Pourtant, sa passion reprenait toujours le dessus en bémol majeur; Quel trublion mirobolant, menteur, casanier, rancunier, obsédé par versifier ce que seul possédait son coeur. Oublier toutes ces niaiseries, stupidités écrites, énormités, pensées réactionnaires débiles qui pervertissaient ses oeuvres.
Il préférait dormir, rêvant en poète attardé, qu'il voulait glorifier tardivement, les oeuvres exacerbées d'orgasmes vivifiants et revigorants. Un matin saoulé d'amertume par

Jean le Poète était un homme banal qui comprenait bien le Chinois. Il adorait écrire des tas d'énormités. Sa passion était toujours de détailler les limericks (was?), les haïkus que les Européens écrivent sans savoir où les emmèneront les aléas.
Libertin, imaginatif mais joueur invétéré, perdant sa fortune et sa notoriété spontanément, il avait rêvé que vivre serait fastueux comme dépenser sans honte ni retenue, pourtant il exagérait beaucoup ! Manger, s'enivrer, forniquer toute effronterie incluse mais écrire, ivresse sensuelle, abrogation de moralité et luxure omniprésente, le coeur toujours prêt d'exploser. Son ambition n'avait point de rivale et sa passion rendait impossible toute démence intellectuelle. Pourtant, souvent déçu, il entreprenait des révisions systématiques de ses abattis qu'il emmitouflait dans une espèce d'adorable pantalon gras, décousu, sans fermeture-éclair. Aujourd'hui, il n'avait point oublié la somme d'efforts fournis par son énorme vit qu'il manipulait toujours dextrement afin d'extraire toute la moelle de son pauvre membre fatigué...
Décidément, Jean devait tout faire seul ! Même se vivifier l'esprit qui battait fortement la chamade. Pourtant, sa passion reprenait toujours le dessus en bémol majeur; Quel trublion mirobolant, menteur, casanier, rancunier, obsédé par versifier ce que seul possédait son coeur. Oublier toutes ces niaiseries, stupidités écrites, énormités, pensées réactionnaires débiles qui pervertissaient ses oeuvres.
Il préférait dormir, rêvant en poète attardé, qu'il voulait glorifier tardivement, les oeuvres exacerbées d'orgasmes vivifiants et revigorants. Un matin saoulé d'amertume par
de l'absinthe

Jean le Poète était un homme banal qui comprenait bien le Chinois. Il adorait écrire des tas d'énormités. Sa passion était toujours de détailler les limericks (was?), les haïkus que les Européens écrivent sans savoir où les emmèneront les aléas.
Libertin, imaginatif mais joueur invétéré, perdant sa fortune et sa notoriété spontanément, il avait rêvé que vivre serait fastueux comme dépenser sans honte ni retenue, pourtant il exagérait beaucoup ! Manger, s'enivrer, forniquer toute effronterie incluse mais écrire, ivresse sensuelle, abrogation de moralité et luxure omniprésente, le coeur toujours prêt d'exploser. Son ambition n'avait point de rivale et sa passion rendait impossible toute démence intellectuelle. Pourtant, souvent déçu, il entreprenait des révisions systématiques de ses abattis qu'il emmitouflait dans une espèce d'adorable pantalon gras, décousu, sans fermeture-éclair. Aujourd'hui, il n'avait point oublié la somme d'efforts fournis par son énorme vit qu'il manipulait toujours dextrement afin d'extraire toute la moelle de son pauvre membre fatigué...
Décidément, Jean devait tout faire seul ! Même se vivifier l'esprit qui battait fortement la chamade. Pourtant, sa passion reprenait toujours le dessus en bémol majeur; Quel trublion mirobolant, menteur, casanier, rancunier, obsédé par versifier ce que seul possédait son coeur. Oublier toutes ces niaiseries, stupidités écrites, énormités, pensées réactionnaires débiles qui pervertissaient ses oeuvres.
Il préférait dormir, rêvant en poète attardé, qu'il voulait glorifier tardivement, les oeuvres exacerbées d'orgasmes vivifiants et revigorants. Un matin saoulé d'amertume par de l'absinthe frelatée

Jean le Poète était un homme banal qui comprenait bien le Chinois. Il adorait écrire des tas d'énormités. Sa passion était toujours de détailler les limericks (was?), les haïkus que les Européens écrivent sans savoir où les emmèneront les aléas.
Libertin, imaginatif mais joueur invétéré, perdant sa fortune et sa notoriété spontanément, il avait rêvé que vivre serait fastueux comme dépenser sans honte ni retenue, pourtant il exagérait beaucoup ! Manger, s'enivrer, forniquer toute effronterie incluse mais écrire, ivresse sensuelle, abrogation de moralité et luxure omniprésente, le coeur toujours prêt d'exploser. Son ambition n'avait point de rivale et sa passion rendait impossible toute démence intellectuelle. Pourtant, souvent déçu, il entreprenait des révisions systématiques de ses abattis qu'il emmitouflait dans une espèce d'adorable pantalon gras, décousu, sans fermeture-éclair. Aujourd'hui, il n'avait point oublié la somme d'efforts fournis par son énorme vit qu'il manipulait toujours dextrement afin d'extraire toute la moelle de son pauvre membre fatigué...
Décidément, Jean devait tout faire seul ! Même se vivifier l'esprit qui battait fortement la chamade. Pourtant, sa passion reprenait toujours le dessus en bémol majeur; Quel trublion mirobolant, menteur, casanier, rancunier, obsédé par versifier ce que seul possédait son coeur. Oublier toutes ces niaiseries, stupidités écrites, énormités, pensées réactionnaires débiles qui pervertissaient ses oeuvres.
Il préférait dormir, rêvant en poète attardé, qu'il voulait glorifier tardivement, les oeuvres exacerbées d'orgasmes vivifiants et revigorants. Un matin saoulé d'amertume par de l'absinthe frelatée, il eut

Jean le Poète était un homme banal qui comprenait bien le Chinois. Il adorait écrire des tas d'énormités. Sa passion était toujours de détailler les limericks (was?), les haïkus que les Européens écrivent sans savoir où les emmèneront les aléas.
Libertin, imaginatif mais joueur invétéré, perdant sa fortune et sa notoriété spontanément, il avait rêvé que vivre serait fastueux comme dépenser sans honte ni retenue, pourtant il exagérait beaucoup ! Manger, s'enivrer, forniquer toute effronterie incluse mais écrire, ivresse sensuelle, abrogation de moralité et luxure omniprésente, le coeur toujours prêt d'exploser. Son ambition n'avait point de rivale et sa passion rendait impossible toute démence intellectuelle. Pourtant, souvent déçu, il entreprenait des révisions systématiques de ses abattis qu'il emmitouflait dans une espèce d'adorable pantalon gras, décousu, sans fermeture-éclair. Aujourd'hui, il n'avait point oublié la somme d'efforts fournis par son énorme vit qu'il manipulait toujours dextrement afin d'extraire toute la moelle de son pauvre membre fatigué...
Décidément, Jean devait tout faire seul ! Même se vivifier l'esprit qui battait fortement la chamade. Pourtant, sa passion reprenait toujours le dessus en bémol majeur; Quel trublion mirobolant, menteur, casanier, rancunier, obsédé par versifier ce que seul possédait son coeur. Oublier toutes ces niaiseries, stupidités écrites, énormités, pensées réactionnaires débiles qui pervertissaient ses oeuvres.
Il préférait dormir, rêvant en poète attardé, qu'il voulait glorifier tardivement, les oeuvres exacerbées d'orgasmes vivifiants et revigorants. Un matin saoulé d'amertume par de l'absinthe frelatée, il eut comme

Jean le Poète était un homme banal qui comprenait bien le Chinois. Il adorait écrire des tas d'énormités. Sa passion était toujours de détailler les limericks (was?), les haïkus que les Européens écrivent sans savoir où les emmèneront les aléas.
Libertin, imaginatif mais joueur invétéré, perdant sa fortune et sa notoriété spontanément, il avait rêvé que vivre serait fastueux comme dépenser sans honte ni retenue, pourtant il exagérait beaucoup ! Manger, s'enivrer, forniquer toute effronterie incluse mais écrire, ivresse sensuelle, abrogation de moralité et luxure omniprésente, le coeur toujours prêt d'exploser. Son ambition n'avait point de rivale et sa passion rendait impossible toute démence intellectuelle. Pourtant, souvent déçu, il entreprenait des révisions systématiques de ses abattis qu'il emmitouflait dans une espèce d'adorable pantalon gras, décousu, sans fermeture-éclair. Aujourd'hui, il n'avait point oublié la somme d'efforts fournis par son énorme vit qu'il manipulait toujours dextrement afin d'extraire toute la moelle de son pauvre membre fatigué...
Décidément, Jean devait tout faire seul ! Même se vivifier l'esprit qui battait fortement la chamade. Pourtant, sa passion reprenait toujours le dessus en bémol majeur; Quel trublion mirobolant, menteur, casanier, rancunier, obsédé par versifier ce que seul possédait son coeur. Oublier toutes ces niaiseries, stupidités écrites, énormités, pensées réactionnaires débiles qui pervertissaient ses oeuvres.
Il préférait dormir, rêvant en poète attardé, qu'il voulait glorifier tardivement, les oeuvres exacerbées d'orgasmes vivifiants et revigorants. Un matin saoulé d'amertume par de l'absinthe frelatée, il eut comme une

Jean le Poète était un homme banal qui comprenait bien le Chinois. Il adorait écrire des tas d'énormités. Sa passion était toujours de détailler les limericks (was?), les haïkus que les Européens écrivent sans savoir où les emmèneront les aléas.
Libertin, imaginatif mais joueur invétéré, perdant sa fortune et sa notoriété spontanément, il avait rêvé que vivre serait fastueux comme dépenser sans honte ni retenue, pourtant il exagérait beaucoup ! Manger, s'enivrer, forniquer toute effronterie incluse mais écrire, ivresse sensuelle, abrogation de moralité et luxure omniprésente, le coeur toujours prêt d'exploser. Son ambition n'avait point de rivale et sa passion rendait impossible toute démence intellectuelle. Pourtant, souvent déçu, il entreprenait des révisions systématiques de ses abattis qu'il emmitouflait dans une espèce d'adorable pantalon gras, décousu, sans fermeture-éclair. Aujourd'hui, il n'avait point oublié la somme d'efforts fournis par son énorme vit qu'il manipulait toujours dextrement afin d'extraire toute la moelle de son pauvre membre fatigué...
Décidément, Jean devait tout faire seul ! Même se vivifier l'esprit qui battait fortement la chamade. Pourtant, sa passion reprenait toujours le dessus en bémol majeur; Quel trublion mirobolant, menteur, casanier, rancunier, obsédé par versifier ce que seul possédait son coeur. Oublier toutes ces niaiseries, stupidités écrites, énormités, pensées réactionnaires débiles qui pervertissaient ses oeuvres.
Il préférait dormir, rêvant en poète attardé, qu'il voulait glorifier tardivement, les oeuvres exacerbées d'orgasmes vivifiants et revigorants. Un matin saoulé d'amertume par de l'absinthe frelatée, il eut comme une fulguration

Jean le Poète était un homme banal qui comprenait bien le Chinois. Il adorait écrire des tas d'énormités. Sa passion était toujours de détailler les limericks (was?), les haïkus que les Européens écrivent sans savoir où les emmèneront les aléas.
Libertin, imaginatif mais joueur invétéré, perdant sa fortune et sa notoriété spontanément, il avait rêvé que vivre serait fastueux comme dépenser sans honte ni retenue, pourtant il exagérait beaucoup ! Manger, s'enivrer, forniquer toute effronterie incluse mais écrire, ivresse sensuelle, abrogation de moralité et luxure omniprésente, le coeur toujours prêt d'exploser. Son ambition n'avait point de rivale et sa passion rendait impossible toute démence intellectuelle. Pourtant, souvent déçu, il entreprenait des révisions systématiques de ses abattis qu'il emmitouflait dans une espèce d'adorable pantalon gras, décousu, sans fermeture-éclair. Aujourd'hui, il n'avait point oublié la somme d'efforts fournis par son énorme vit qu'il manipulait toujours dextrement afin d'extraire toute la moelle de son pauvre membre fatigué...
Décidément, Jean devait tout faire seul ! Même se vivifier l'esprit qui battait fortement la chamade. Pourtant, sa passion reprenait toujours le dessus en bémol majeur; Quel trublion mirobolant, menteur, casanier, rancunier, obsédé par versifier ce que seul possédait son coeur. Oublier toutes ces niaiseries, stupidités écrites, énormités, pensées réactionnaires débiles qui pervertissaient ses oeuvres.
Il préférait dormir, rêvant en poète attardé, qu'il voulait glorifier tardivement, les oeuvres exacerbées d'orgasmes vivifiants et revigorants. Un matin saoulé d'amertume par de l'absinthe frelatée, il eut comme une fulguration cervicale

Jean le Poète était un homme banal qui comprenait bien le Chinois. Il adorait écrire des tas d'énormités. Sa passion était toujours de détailler les limericks (was?), les haïkus que les Européens écrivent sans savoir où les emmèneront les aléas.
Libertin, imaginatif mais joueur invétéré, perdant sa fortune et sa notoriété spontanément, il avait rêvé que vivre serait fastueux comme dépenser sans honte ni retenue, pourtant il exagérait beaucoup ! Manger, s'enivrer, forniquer toute effronterie incluse mais écrire, ivresse sensuelle, abrogation de moralité et luxure omniprésente, le coeur toujours prêt d'exploser. Son ambition n'avait point de rivale et sa passion rendait impossible toute démence intellectuelle. Pourtant, souvent déçu, il entreprenait des révisions systématiques de ses abattis qu'il emmitouflait dans une espèce d'adorable pantalon gras, décousu, sans fermeture-éclair. Aujourd'hui, il n'avait point oublié la somme d'efforts fournis par son énorme vit qu'il manipulait toujours dextrement afin d'extraire toute la moelle de son pauvre membre fatigué...
Décidément, Jean devait tout faire seul ! Même se vivifier l'esprit qui battait fortement la chamade. Pourtant, sa passion reprenait toujours le dessus en bémol majeur; Quel trublion mirobolant, menteur, casanier, rancunier, obsédé par versifier ce que seul possédait son coeur. Oublier toutes ces niaiseries, stupidités écrites, énormités, pensées réactionnaires débiles qui pervertissaient ses oeuvres.
Il préférait dormir, rêvant en poète attardé, qu'il voulait glorifier tardivement, les oeuvres exacerbées d'orgasmes vivifiants et revigorants. Un matin saoulé d'amertume par de l'absinthe frelatée, il eut comme une fulguration cervicale malfaisante

Jean le Poète était un homme banal qui comprenait bien le Chinois. Il adorait écrire des tas d'énormités. Sa passion était toujours de détailler les limericks (was?), les haïkus que les Européens écrivent sans savoir où les emmèneront les aléas.
Libertin, imaginatif mais joueur invétéré, perdant sa fortune et sa notoriété spontanément, il avait rêvé que vivre serait fastueux comme dépenser sans honte ni retenue, pourtant il exagérait beaucoup ! Manger, s'enivrer, forniquer toute effronterie incluse mais écrire, ivresse sensuelle, abrogation de moralité et luxure omniprésente, le coeur toujours prêt d'exploser. Son ambition n'avait point de rivale et sa passion rendait impossible toute démence intellectuelle. Pourtant, souvent déçu, il entreprenait des révisions systématiques de ses abattis qu'il emmitouflait dans une espèce d'adorable pantalon gras, décousu, sans fermeture-éclair. Aujourd'hui, il n'avait point oublié la somme d'efforts fournis par son énorme vit qu'il manipulait toujours dextrement afin d'extraire toute la moelle de son pauvre membre fatigué...
Décidément, Jean devait tout faire seul ! Même se vivifier l'esprit qui battait fortement la chamade. Pourtant, sa passion reprenait toujours le dessus en bémol majeur; Quel trublion mirobolant, menteur, casanier, rancunier, obsédé par versifier ce que seul possédait son coeur. Oublier toutes ces niaiseries, stupidités écrites, énormités, pensées réactionnaires débiles qui pervertissaient ses oeuvres.
Il préférait dormir, rêvant en poète attardé, qu'il voulait glorifier tardivement, les oeuvres exacerbées d'orgasmes vivifiants et revigorants. Un matin saoulé d'amertume par de l'absinthe frelatée, il eut comme une fulguration cervicale malfaisante, une

Jean le Poète était un homme banal qui comprenait bien le Chinois. Il adorait écrire des tas d'énormités. Sa passion était toujours de détailler les limericks (was?), les haïkus que les Européens écrivent sans savoir où les emmèneront les aléas.
Libertin, imaginatif mais joueur invétéré, perdant sa fortune et sa notoriété spontanément, il avait rêvé que vivre serait fastueux comme dépenser sans honte ni retenue, pourtant il exagérait beaucoup ! Manger, s'enivrer, forniquer toute effronterie incluse mais écrire, ivresse sensuelle, abrogation de moralité et luxure omniprésente, le coeur toujours prêt d'exploser. Son ambition n'avait point de rivale et sa passion rendait impossible toute démence intellectuelle. Pourtant, souvent déçu, il entreprenait des révisions systématiques de ses abattis qu'il emmitouflait dans une espèce d'adorable pantalon gras, décousu, sans fermeture-éclair. Aujourd'hui, il n'avait point oublié la somme d'efforts fournis par son énorme vit qu'il manipulait toujours dextrement afin d'extraire toute la moelle de son pauvre membre fatigué...
Décidément, Jean devait tout faire seul ! Même se vivifier l'esprit qui battait fortement la chamade. Pourtant, sa passion reprenait toujours le dessus en bémol majeur; Quel trublion mirobolant, menteur, casanier, rancunier, obsédé par versifier ce que seul possédait son coeur. Oublier toutes ces niaiseries, stupidités écrites, énormités, pensées réactionnaires débiles qui pervertissaient ses oeuvres.
Il préférait dormir, rêvant en poète attardé, qu'il voulait glorifier tardivement, les oeuvres exacerbées d'orgasmes vivifiants et revigorants. Un matin saoulé d'amertume par de l'absinthe frelatée, il eut comme une fulguration cervicale malfaisante, une sorte