Guillotin

Guillotin

La Louisette, quel jolie sobriquet

Plus rassurant que la monte à regret

Grâce à ce sacré plaisantin

ce bon docteur Guillotin:

« Avec ma machine, la tête je vous fais sauter

en un clin d'œil et point vous ne souffrez. »

Bienfaiteur , pourtant, de l'humanité

à n'en point douter

Même si cela semble peu rigolo

cette bascule à Charlot

nombreuses souffrances a évitée

La hache du bourreau même bien aiguisée

n'empêchait pas sa maladresse

et avant que la torture ne cesse

combien de coup fallait-il donner ?

Le chanceux Nicolas Jacques Pelletier

fut le premier à en profiter

mais nul ne sait en vérité

s'il l'a vraiment apprécié

Pas l'temps de savourer

et "tchop" , la tête dans l'panier.

Bonjour Atros
Merci pour ce petit point historique en vers et bien rythmé.
Cette mise au point ne manque pas d'humour sur un sujet à première vue peu reluisant de notre Histoire.

Amicalement

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Membre Contributeur Vero

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Bonsoir Atros,

Ce poème, bien rythmé, en effet, m'a conduit vers la fiche

Wikipedia du docteur Guillotin et cet extrait confirme ces

vers ....et plus encore !

"La hache du bourreau même bien aiguisée"

"n'empêchait pas sa maladresse"

"et avant que la torture ne cesse"

"combien de coup fallait-il donner ?"

La proposition de Guillotin vise également à supprimer les souffrances inutiles. En effet, jusqu’alors, l'exécution de la peine capitale différait selon le forfait et le rang social du condamné : les nobles étaient décapités au sabre, les roturiers à la hache, les régicides et criminels d'État écartelés, les hérétiques brûlés, les voleurs roués ou pendus, les faux-monnayeurs bouillis vifs dans un chaudron. Son idée est adoptée en 1791 par la loi du 6 octobre qui dispose que « la peine de mort consistera dans la simple privation de la vie, sans qu'il puisse jamais être exercé aucune torture envers les condamnés » et que « tout condamné à mort aura la tête tranchée».

Amitiés poétiques

Vero a écrit:: Bonjour Atros
Merci pour ce petit point historique en vers et bien rythmé.
Cette mise au point ne manque pas d'humour sur un sujet à première vue peu reluisant de notre Histoire.

Amicalement

Mine de rien pour l'époque c'était une belle avancée pour l'humanité.
Amitiés

Surfeur1111 a écrit:: Bonsoir Atros,

Ce poème, bien rythmé, en effet, m'a conduit vers la fiche
Wikipedia du docteur Guillotin et cet extrait confirme ces
vers ....et plus encore !

"La hache du bourreau même bien aiguisée"
"n'empêchait pas sa maladresse"
"et avant que la torture ne cesse"
"combien de coup fallait-il donner ?"

La proposition de Guillotin vise également à supprimer les souffrances inutiles. En effet, jusqu’alors, l'exécution de la peine capitale différait selon le forfait et le rang social du condamné : les nobles étaient décapités au sabre, les roturiers à la hache, les régicides et criminels d'État écartelés, les hérétiques brûlés, les voleurs roués ou pendus, les faux-monnayeurs bouillis vifs dans un chaudron. Son idée est adoptée en 1791 par la loi du 6 octobre qui dispose que « la peine de mort consistera dans la simple privation de la vie, sans qu'il puisse jamais être exercé aucune torture envers les condamnés » et que « tout condamné à mort aura la tête tranchée».

Amitiés poétiques

Il faut dire qu'à l'époque le peuple avait peu de distraction , pas de télé, pas d'internet . C'était en quelque sorte leur téléréalité.
Merci et à bientôt

Bonjour Atros.

Tu te trompes : l'inventeur de la guillotine est le chirurgien Antoine Louis. Voir mon poème intitulé Reflet équivoque : Reflet équivoque

On écrit "rigolo" et non "rigollot". Tu as commis une autre faute d'orthographe que beaucoup de gens font. Tu as écrit "fût" (imparfait du subjonctif) au lieu de "fut" (passé simple).

Effectivement il ne l'a pas inventé ( Je ne l'ai tout simplement évoqué )elle était déjà utilisée dans d'autres pays mais c'est lui qui l'a fait adopté par l'assemblée nationale constituante.
Merci pour fautes ," rigollot" n'a rien à faire ici.
Amitiés