UN ELFE (en composant une strophe selon le shéma donné par sandipoète (strophe de victor hugo)

Invité

Lorsque l'enfant paraît, le cercle de famille
Applaudit à grands cris.
Son doux regard qui brille
Fait briller tous les yeux,
Et les plus tristes fronts, les plus souillés peut-être,
Se dérident soudain à voir l'enfant paraître,
Innocent et joyeux.

Un alexandrin suivi de trois hexasyllabes
Puis deux alexandrins à rimes pauvres
Et pour finir la première strophe un hexasyllabe finissant par Joyeux

UN ELFE

Un elfe se promène au gré de son envie

Oh quels jolis sapins !

L’aube semble ravie

Suis-je au pays des lutins ?

Le temps ce vieux parâtre est un briseur de rêve

L’horloge est arrêtée alors signons la trêve

Oubliez vos larbins !

Son ami le sapin le prévient gentiment

Les fleurs si doucereuses

Ont un regard d’enfant

des voix mélodieuses

méfiez-vous soyez sage évitez ces harpies

leur langue :du venin leurs paroles fleuries

sont-elles curieuses !

notre elfe si naïf n’écouta point le sage

les bleuets sont des sots

leur coiffure :un bandage

leur surnom :les vieux beaux

prévenu l’empereur demande à marguerite

de tancer l’impudent << rentre chez toi et vite

évite les ruisseaux <<

raymonde verney

Invité

Bonsoir Raymonde,

j"adore ce Texte de Victor Hugo!

Et je suis très touché par votre travail d'Écriture
qui reprend aussi bien la forme que le fond!

Bravo

et Merci pour ce bel échange!

poétiquement

Invité

merci alain je connais et apprécie votre plume talentueuse également
amitiés
raymonde

Superbe rebond, Raymonde ! Bravo !

Bises.

Roger.

Textes protégés par © Copyright N° 79Z516A
Roger MASSÉ

UN ELFE (en composant une strophe selon le shéma donné par sandipoète (strophe de victor hugo) Grimoi10

Bonsoir Raymonde,

Une nouvelle version joliment champêtre !

Amitiés
Jeannie.

Invité

Bonsoir Raymonde,

Bien que nous ayons échangé sur ce sujet,très agréablement, je viens de me rendre
compte de la "maladresse" de mes vers, quant à ma dernière strophe totalement
hors sujet; et très mal écrite!

Voici donc mon texte en parallèle au Votre!
Avec toutes Mes Amitiés.

Poétiquement:

Lorsque l'enfant paraît
bien humblement selon Victor Hugo
et le Texte de Raymonde

Lorsque l'enfant paraît parmi cent mille roses
Éblouit, en ses yeux,
La vertu qui repose
Auprès de son vrai Dieu
Son regard, sa beauté, ses gestes que l'on croit
Décimés sur la vie de son immense croix
Et que chacun suppose,

Soit que le ciel obscur évoque les mésanges
Comme une immensité dont balbutient les anges,
Les arbres se toucher,
Quand l'Enfant, d'outre tombe, évince le surcroît
Négociée, passagère, et tout ce que l'on croit
Dont on ne sait marcher !

Quelquefois j'ai blotti auprès de Toi mon âme
En mon incognito comme un bouquet de flamme
Dont je lève le poing
Enfant de ma beauté, Enfant de mon histoire
A ma petite pluie dont naît mon écritoire
Où le Mot est un point !

La nuit, la nuit, la nuit, pleure sur l'apostrophe
Où l'on entend gémir quelques petites strophes
Comme un reflet ruisseau
Dont l'amour sait le jour et sa médiocrité
Nomme la pluie des morts Celle des libertés
Comme fut soi le sot !

L'Enfant, dit l'Enfant Grecque, dit l'Enfant aux yeux bleus
Sur l’île de Chi/o où les Turcs ont passé
S'éteignent les cymbales
De par la Poésie, De Mon si Cher Hugo
Depuis qu'Il écrivit : Je nie les silencieux
Bien que l'on soit égaux
Depuis qu'Il combattit dessus les barricades
Victor... Victor Hugo
A l'endroit innomé de toutes nos arcades
« Je veux, dit l'Enfant Grecque » en ses maux qui l'accablent...
« Je veux dit l'Enfant Grecque, de la poudre et des balles !

Comme Che Guevara

Et ce qu'il approuva :

« Je veux dit l'Enfant Grecque, de la poudre et des balles ! »

Invité

merci roger d'avoir apprécié mon elfe
bises Vote

Invité

merci ) toi jeanie pour le gentil commentaire
bises Une Rose

Invité

alain je lirai votre poésie ce soir j'aurais plus de temps
pour êtes un grand poète
bises Bravo

Invité

Bonsoir Raymonde,

il m'a semblé vous avoir répondu depuis notre échange
sur ce texte de Victor Hugo, mais je ne vois pas les réponses!
Cela n'est pas grave et d'ailleurs m'a permis de constater
que ma dernière strophe n'est pas du tout en accord avec la
forme proposée par Victor Hugo,
aussi je la reprend :

ma strophe actuelle:

L'Enfant, dit l'Enfant Grecque, dit l'Enfant aux yeux bleus
De par la Poésie, De Mon si Cher Hugo
Depuis qu'Il écrivit : Je nie les silencieux
Depuis qu'Il combattit dessus les barricades
Comme Che Guevara
Et ce qu'il approuva :

cette strophe est totalement indigne de Mon Maître: Victor Hugo,
ainsi je la réécris.

L'Enfant, dit l'Enfant Grecque, dit l'Enfant aux yeux bleus
De par la Poésie, De Mon si Cher Hugo

L'Enfant, dit l'Enfant Grecque, dit l'Enfant aux yeux bleus
Sur l’île de Chi/o où les Turcs ont passé
S'éteignent les cymbales
De par la Poésie, De Mon si Cher Hugo
Depuis qu'Il écrivit : Je nie les silencieux
Bien que l'on soit égaux
Depuis qu'Il combattit dessus les barricades
A l'endroit innomé de toutes nos arcades
Victor... Victor Hugo
La Grandeur de tes vers me sont si préci/eux,
Mais l'Enfant veut des balles!!

« Je veux, dit l'Enfant Grecque » en ses maux qui l'accablent...
« Je veux dit l'Enfant Grecque, de la poudre et des balles !
* Selon L'Enfant de Victor Hugo !

Invité

SUPERBE!

vous avez merveilleusement remanié cette strophe
bravo alain
amitiés
raymonde

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