oh, cette comédie...

Oh, cette comédie évoque à s'y méprendre
La brûlure du temps, la faille de la nuit
Et l'ivresse du vent mais c'est seulement lui
Le chef, le maestro, le monarque au cœur tendre.

Tu trônes au-delà des célestes méandres,
A l'abri de l'esprit ignare ou bien instruit,
Au centre du regard qui chez chacun reluit
Du feu originel ressuscité des cendres.

Ton évidence échoit au seul être vivant,
On ne peut te sentir après ni même avant,
Tu règnes tout entier chez chaque créature

Et ce n'est qu'en ce sens qu'enfin je t'aperçois !
Toi qui ne peux jamais abîmer ta nature
Malgré tous les sujets qu'en ton nom tu conçois.

Un sonnet pour Dieu ?

Oui, mon cher, sandipoete, bien vu, on peut dire ça ! La religion ne choque pas trop les consciences, j'espère... ? Par les temps qui courent, nous ne serions pas les premiers :)

Bonjour Jeannie, c'est vrai ! Merci beaucoup ! Pour moi, une réelle chance ! Bien à vous,